Vingt-quatre heures avant le départ du président béninois pour la France début octobre, un communiqué signé du fonctionnaire limogé vendredi 13 octobre, atterrit sur les réseaux sociaux. Il annonce que Patrice Talon effectue une visite de travail à Paris à l’invitation du président français, et qu’il sera reçu par Emmanuel Macron.
Mais visiblement, les choses n’étaient pas si sûres que ça. L’Elysée n’avait encore rien confirmé. Patrice Talon entame son séjour parisien, il ne rencontrera pas Emmanuel Macron, officiellement pour souci d’agenda.
Ce qui ne convainc pas totalement les anti-alon. Les critiques sont si virulentes que le président béninois doit se justifier. Devant la diaspora béninoise, il assure qu’il n’y a aucune brouille entre le Bénin et la France.
Lorsque le président rentre, une enquête interne est diligentée. La sanction qui tombe fait une victime : le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Marc Hermanne Araba.
Pour le responsable des syndicats du ministère, le diplomate sanctionné paie pour les autres.
Mais visiblement, les choses n’étaient pas si sûres que ça. L’Elysée n’avait encore rien confirmé. Patrice Talon entame son séjour parisien, il ne rencontrera pas Emmanuel Macron, officiellement pour souci d’agenda.
Ce qui ne convainc pas totalement les anti-alon. Les critiques sont si virulentes que le président béninois doit se justifier. Devant la diaspora béninoise, il assure qu’il n’y a aucune brouille entre le Bénin et la France.
Lorsque le président rentre, une enquête interne est diligentée. La sanction qui tombe fait une victime : le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Marc Hermanne Araba.
Pour le responsable des syndicats du ministère, le diplomate sanctionné paie pour les autres.
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