Le Sénégal est dans l’optique de créer des instituts des métiers du gaz et du pétrole, grâce à des financements et des partenariats public-privé. Et, d’après le directeur général de l’enseignement supérieur, « l’ambition est de créer une organisation patronale professionnelle pour répondre aux besoins du milieu».
A l’en croire, seul un partenariat public-privé permettra de pallier les manquements. « A la veille de cette rencontre, j’ai reçu des partenaires canadiens qui sont venus me parler de la responsabilité de la création d’instituts des métiers du gaz et du pétrole qui prennent en compte l’aspect environnemental. J’ai associé un seul directeur et c’est celui de l’enseignement privé », a dit le Pr Sangaré à ses pairs.
«L’approche métier est privilégiée»
« Le secteur de l’enseignement supérieur, surtout privé, a une capacité d’innovation et d’adaptation. Face aux enjeux : besoins, problèmes, nous avons une capacité de réactions qui peut nous permettre de nous adapter et de relever le défi », souligne le président du comité d’organisation de l’Assemblée générale constitutive de la FEPES, Daour Diop.
Avant que le président du comité d'organisation ne soulève les difficultés liées à la fiscalité, il a regretté "qu’il n’ait pas la possibilité de récupérer la TVA qu’ils supportent", et, a dénoncé le problème du financement et la question du foncier qui constituent des obstacles pour le secteur de l’enseignement supérieur.
A l’en croire, seul un partenariat public-privé permettra de pallier les manquements. « A la veille de cette rencontre, j’ai reçu des partenaires canadiens qui sont venus me parler de la responsabilité de la création d’instituts des métiers du gaz et du pétrole qui prennent en compte l’aspect environnemental. J’ai associé un seul directeur et c’est celui de l’enseignement privé », a dit le Pr Sangaré à ses pairs.
«L’approche métier est privilégiée»
« Le secteur de l’enseignement supérieur, surtout privé, a une capacité d’innovation et d’adaptation. Face aux enjeux : besoins, problèmes, nous avons une capacité de réactions qui peut nous permettre de nous adapter et de relever le défi », souligne le président du comité d’organisation de l’Assemblée générale constitutive de la FEPES, Daour Diop.
Avant que le président du comité d'organisation ne soulève les difficultés liées à la fiscalité, il a regretté "qu’il n’ait pas la possibilité de récupérer la TVA qu’ils supportent", et, a dénoncé le problème du financement et la question du foncier qui constituent des obstacles pour le secteur de l’enseignement supérieur.
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