And Taxawu Grand-Mbour, collectif réunissant l’ensemble des populations de Grand Mbour et œuvrant pour un bon cadre de vie et un environnement sain, constate amèrement « une négligence des autorités dans leur localité ».
Selon les membres de ce collectif, la localité de Grand-Mbour souffre de nombreux maux qui, à terme, transformera cette cité en un taudis, un espace anarchique, une cité invivable. «A y voir de près, on a l’impression que les autorités locales nous manquent royalement de respect et n’accorde aucune attention à nos revendications et à nos préoccupations », soutiennent-ils.
« Aujourd’hui, il n’y a pas de police de proximité dans la zone pour garantir la sécurité et assurer la libre circulation des personnes et des biens. Il y a un manque criard d'infrastructures routières et de réseaux de canalisation. La seule piste en latérite posée en 2011 dans cette zone de forte densité et de trafic est aujourd’hui recouverte de sable. Cette piste de moins de 4 km reliant le marché central et l’épine dorsale du quartier est un véritable danger public et source de plusieurs maladies pulmonaires (tuberculose) et autres maladies cardiovasculaires », déplorent les membres d’And Taxawu Grand-Mbour dans un communiqué survenu à PressAfrik.
D’après ce collectif, ce qui est dommage, « c’est que les autorités locales ne font rien pour changer la donne ». « Nous dénonçons vigoureusement la mauvaise foi et le manque de transparence du maire et de son équipe qui malgré un budget dégagé par le conseil municipal en 2011 ont refusé de bitumer cette route. Cela fait aujourd’hui 10 ans depuis que ce projet a été ficelé et le financement dégagé par le conseil municipal. Qu’est-ce qui peut justifier ces lenteurs ou réticences à construire cette route ? » s’interrogent-ils.
Poursuivant, ils ajoutent : « Nous sommes convaincus que l’argent prévu pour faire cette route a été détourné pour d’autres objectifs. Nous exigeons au maire Fallou Sylla de nous dire où est-ce que cet argent a été injecté. Nous pensons que le maire incompétent et impopulaire, Fallou Sylla est le seul responsable de cette situation. Son incapacité à gérer la municipalité est à l’origine d’ailleurs de la révolte des populations à vouloir changer la physionomie de Mbour ».
Le collectif And Taxawu Grand-Mbour déplore le fait que leur localité n’a pas été prise en compte par le programme de modernisation des villes. Pourtant, selon ses membres, « Grand-Mbour est une zone stratégique pour le développement du Tourisme et l’image de Mbour ».
« Nous demeurons convaincus que Grand Mbour doit faire partie des lieux d’attraction de la ville de Mbour par la construction et/ou réhabilitation de notre voirie, la mise en place d’un bon réseau d’assainissement et d’un système d’éclairage public digne de ce nom et l’aménagement d’espaces paysagers », font-il savoir.
« Nous mettons également en garde les autorités municipales pour leur dire de ne pas poser les pieds à Grand Mbour pour quémander les voix des populations aux prochaines échéances locales si nos revendications ne sont pas satisfaites. Encore une fois, nous réclamons une route bitumée. Nous n’accepterons pas qu’on nous pose une nouvelle fois de la latérite », avertissent-ils fermement.
Selon les membres de ce collectif, la localité de Grand-Mbour souffre de nombreux maux qui, à terme, transformera cette cité en un taudis, un espace anarchique, une cité invivable. «A y voir de près, on a l’impression que les autorités locales nous manquent royalement de respect et n’accorde aucune attention à nos revendications et à nos préoccupations », soutiennent-ils.
« Aujourd’hui, il n’y a pas de police de proximité dans la zone pour garantir la sécurité et assurer la libre circulation des personnes et des biens. Il y a un manque criard d'infrastructures routières et de réseaux de canalisation. La seule piste en latérite posée en 2011 dans cette zone de forte densité et de trafic est aujourd’hui recouverte de sable. Cette piste de moins de 4 km reliant le marché central et l’épine dorsale du quartier est un véritable danger public et source de plusieurs maladies pulmonaires (tuberculose) et autres maladies cardiovasculaires », déplorent les membres d’And Taxawu Grand-Mbour dans un communiqué survenu à PressAfrik.
D’après ce collectif, ce qui est dommage, « c’est que les autorités locales ne font rien pour changer la donne ». « Nous dénonçons vigoureusement la mauvaise foi et le manque de transparence du maire et de son équipe qui malgré un budget dégagé par le conseil municipal en 2011 ont refusé de bitumer cette route. Cela fait aujourd’hui 10 ans depuis que ce projet a été ficelé et le financement dégagé par le conseil municipal. Qu’est-ce qui peut justifier ces lenteurs ou réticences à construire cette route ? » s’interrogent-ils.
Poursuivant, ils ajoutent : « Nous sommes convaincus que l’argent prévu pour faire cette route a été détourné pour d’autres objectifs. Nous exigeons au maire Fallou Sylla de nous dire où est-ce que cet argent a été injecté. Nous pensons que le maire incompétent et impopulaire, Fallou Sylla est le seul responsable de cette situation. Son incapacité à gérer la municipalité est à l’origine d’ailleurs de la révolte des populations à vouloir changer la physionomie de Mbour ».
Le collectif And Taxawu Grand-Mbour déplore le fait que leur localité n’a pas été prise en compte par le programme de modernisation des villes. Pourtant, selon ses membres, « Grand-Mbour est une zone stratégique pour le développement du Tourisme et l’image de Mbour ».
« Nous demeurons convaincus que Grand Mbour doit faire partie des lieux d’attraction de la ville de Mbour par la construction et/ou réhabilitation de notre voirie, la mise en place d’un bon réseau d’assainissement et d’un système d’éclairage public digne de ce nom et l’aménagement d’espaces paysagers », font-il savoir.
« Nous mettons également en garde les autorités municipales pour leur dire de ne pas poser les pieds à Grand Mbour pour quémander les voix des populations aux prochaines échéances locales si nos revendications ne sont pas satisfaites. Encore une fois, nous réclamons une route bitumée. Nous n’accepterons pas qu’on nous pose une nouvelle fois de la latérite », avertissent-ils fermement.
Autres articles
-
Pont de Rosso : la date de livraison des travaux prévue pour juillet 2026
-
Le mouvement « Doleel Transport » déplore l’interdiction de leur marche et annonce un plan d’action
-
🔴Suivez en Direct la conférence de presse de Jamra sur la propagande et l’idéologie LGBT de Jean-Luc Mélenchon
-
Le Président Bassirou Diomaye s’engage à accompagner la finition du sanctuaire marial de Popenguine
-
Interception d'une pirogue transportant 164 candidats à l'émigration irrégulière au large de l'île de Gorée (marine nationale)