Selon Vital Kamerhe, Joseph Kabila a parlé d'un accord historique. Il en a d’ailleurs fait une feuille de route qu'il faudra appliquer scrupuleusement. Il n'est donc pas question d'un deuxième dialogue.
Les participants au dialogue de la cité de l'Union africaine ont de ce fait été chargés de battre campagne pour persuader ceux qui étaient absents à ces assises afin qu'ils adhèrent à l'accord. Peut-on espérer que le président Kabila quittera le pouvoir en 2018 ? Réponse du président de l'Union pour la nation congolaise (UNC), Vital Kamerhe : « Il a dit essentiellement que l’accord est fait pour organiser les élections. Je crois que la preuve est, qu’il nous a dit que pour lui, le préavis est zéro. »
Désigner un Premier ministre
La majorité et l'opposition au dialogue national se sont accordées pour mettre en place un gouvernement d'une union nationale. Qu'en est-il de ce gouvernement à deux semaines de la fin du délai ? « Je crois que la première chose qui sera faite est la désignation du Premier ministre pour former un gouvernement », avance Vital Kamerhe. Quant à savoir qui serait ce dernier, « c'est le moindre de nos soucis pour le moment » assure Vital Kamerhe.
Dans l'entretemps, le mouvement citoyen Lucha exige qu'à la fin de son mandat le 19 décembre, le président Kabila remette le pouvoir au président du Sénat, Léon Kengo wa Dondo, pour organiser la transition.
De son côté, le rassemblement de l'opposition exige un autre dialogue, plus inclusif. Cette démarche est appuyée par la conférence épiscopale et par d'autres partenaires au sein de la communauté internationale.
Les participants au dialogue de la cité de l'Union africaine ont de ce fait été chargés de battre campagne pour persuader ceux qui étaient absents à ces assises afin qu'ils adhèrent à l'accord. Peut-on espérer que le président Kabila quittera le pouvoir en 2018 ? Réponse du président de l'Union pour la nation congolaise (UNC), Vital Kamerhe : « Il a dit essentiellement que l’accord est fait pour organiser les élections. Je crois que la preuve est, qu’il nous a dit que pour lui, le préavis est zéro. »
Désigner un Premier ministre
La majorité et l'opposition au dialogue national se sont accordées pour mettre en place un gouvernement d'une union nationale. Qu'en est-il de ce gouvernement à deux semaines de la fin du délai ? « Je crois que la première chose qui sera faite est la désignation du Premier ministre pour former un gouvernement », avance Vital Kamerhe. Quant à savoir qui serait ce dernier, « c'est le moindre de nos soucis pour le moment » assure Vital Kamerhe.
Dans l'entretemps, le mouvement citoyen Lucha exige qu'à la fin de son mandat le 19 décembre, le président Kabila remette le pouvoir au président du Sénat, Léon Kengo wa Dondo, pour organiser la transition.
De son côté, le rassemblement de l'opposition exige un autre dialogue, plus inclusif. Cette démarche est appuyée par la conférence épiscopale et par d'autres partenaires au sein de la communauté internationale.
Autres articles
-
Présidentielle en Mauritanie: Mohamed Ould Ghazouani candidat à sa propre succession
-
Burkina Faso: les médias BBC et Voice of America suspendus deux semaines
-
Insécurité alimentaire : plus de 282 millions de personnes touchées en 2023
-
Mali: la prolongation de la transition, objectif inavoué du dialogue inter-Maliens?
-
Mauritanie: l'ex-président Mohamed Ould Abdel Aziz entend déposer sa candidature, même depuis sa prison