Les réactions se poursuivent après l’amnistie accordée au chef de l’Etat, Alassane Ouattara, 800 personnes condamnées ou poursuivies pour leurs présumées responsabilités dans la crise post-électorale crise post-électorale de 2010-2011, dont l’ex première Dame, Simone Gbagbo.
La Ligue ivoirienne des droits de l’Homme (LIDHO), le Mouvement ivoirien des droits humains (MIDH), Action pour la protection des droits humains en Côte d’Ivoire (APDH), le Réseau acteurs ivoiriens des droits humains (RAIDH), la Coalition ivoirienne des défenseurs des droits humains (CIDDH) et le Club Union africaine, le Forum de la société civile ouest-africain Côte d’Ivoire (FOSCAO-CI), l’Organisation des femmes actives de Côte d’Ivoire (OFACI), Human Rights Watch (HRW), la Fédération internationales des droits de l’Homme (FIDH) et Amnesty international (AI), dans une déclaration dont KOACI s’est procuré copie s’oppose à cette décision.
Pour ces organisations, « Aucune amnistie ne devrait s’appliquer aux crimes de guerre, crimes contre l’humanité et autres graves violations des droits humains commises en Côte d’Ivoire pendant la crise post-électorale post-électorale de 2010-2011 ».
Elles révèlent parmi les personnes amnistiées, certaines « pourraient se trouver des personnes présumées responsables des crimes les plus graves ».
« Décider, après sept années de procédure judiciaire impliquant des centaines de victimes et d’auteurs présumés, que seules soixante personnes répondront à la justice est non seulement une décision arbitraire, mais c’est aussi un geste de mépris vis à vis des victimes si cela permet aux auteurs présumés de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité d’échapper aux poursuites », dénoncent-t-elles en guise de conclusion.
La Ligue ivoirienne des droits de l’Homme (LIDHO), le Mouvement ivoirien des droits humains (MIDH), Action pour la protection des droits humains en Côte d’Ivoire (APDH), le Réseau acteurs ivoiriens des droits humains (RAIDH), la Coalition ivoirienne des défenseurs des droits humains (CIDDH) et le Club Union africaine, le Forum de la société civile ouest-africain Côte d’Ivoire (FOSCAO-CI), l’Organisation des femmes actives de Côte d’Ivoire (OFACI), Human Rights Watch (HRW), la Fédération internationales des droits de l’Homme (FIDH) et Amnesty international (AI), dans une déclaration dont KOACI s’est procuré copie s’oppose à cette décision.
Pour ces organisations, « Aucune amnistie ne devrait s’appliquer aux crimes de guerre, crimes contre l’humanité et autres graves violations des droits humains commises en Côte d’Ivoire pendant la crise post-électorale post-électorale de 2010-2011 ».
Elles révèlent parmi les personnes amnistiées, certaines « pourraient se trouver des personnes présumées responsables des crimes les plus graves ».
« Décider, après sept années de procédure judiciaire impliquant des centaines de victimes et d’auteurs présumés, que seules soixante personnes répondront à la justice est non seulement une décision arbitraire, mais c’est aussi un geste de mépris vis à vis des victimes si cela permet aux auteurs présumés de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité d’échapper aux poursuites », dénoncent-t-elles en guise de conclusion.
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