La conférence de la presse a repris en toute quiétude dans les locaux du ministère de l'Enseignement supérieur. Elle est conduite par le Directeur de l'Office du Bac, Babou Diakham qui a reconnu la fraude. A cet effet, il a annoncé la reprise des épreuves avec les sujets de remplacement en "Histoire-Géographie" et en "Français".
La déclaration de Babou Diakham était très attendue après la suspension des épreuves du bac littéraire ce mercredi. « Ce qui est décidé, c’est de reprogrammer au lundi 10 juillet à 08 heures, l’épreuve de Français », a dit le Directeur de l’Office du bac. L’épreuve d’Histoire-Géographie aura lieu la même date dans l’après-midi à 15 heures, poursuit-il.
Revenant sur la suspension des épreuves, il explique qu’ils ont « été interpellés la nuit dernière qu’il y a eu des fuites sur certaines épreuves ». Et, « c’est après vérification qu’ (ils ont) demandé la suspension du déroulement de l’épreuve de Français ».
Babou Diakham qui a annoncé « des poursuites judiciaires pour situer les responsables, d'indiquer qu'une enquête sera ouverte et des mesures prises ».
A ceux qui réclament sa démission, le Directeur de l'Office du bac a répondu « qu'il a été nommé par décret et c'est ce décret qui va m'enlever ».
La déclaration de Babou Diakham était très attendue après la suspension des épreuves du bac littéraire ce mercredi. « Ce qui est décidé, c’est de reprogrammer au lundi 10 juillet à 08 heures, l’épreuve de Français », a dit le Directeur de l’Office du bac. L’épreuve d’Histoire-Géographie aura lieu la même date dans l’après-midi à 15 heures, poursuit-il.
Revenant sur la suspension des épreuves, il explique qu’ils ont « été interpellés la nuit dernière qu’il y a eu des fuites sur certaines épreuves ». Et, « c’est après vérification qu’ (ils ont) demandé la suspension du déroulement de l’épreuve de Français ».
Babou Diakham qui a annoncé « des poursuites judiciaires pour situer les responsables, d'indiquer qu'une enquête sera ouverte et des mesures prises ».
A ceux qui réclament sa démission, le Directeur de l'Office du bac a répondu « qu'il a été nommé par décret et c'est ce décret qui va m'enlever ».