
Les facultés de médecine des universités Cheikh Anta Diop de Dakar, Gaston Berger de Saint Louis, Alioune Diop de Bambey, et l’université de Thiès, ont mis le Sénégal dans les premiers rangs lors de la 18é édition du concours d’agréation du Cames. A cette occasion, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane, appelle les nouveaux lauréats à relever le défis en santé publique qui constitue un problème majeur au Sénégal.
Selon lui, ce concours permet de mettre à la disposition des services de santé et de l’enseignement supérieur de nouveaux maîtres de conférences agrégés. « Ces titres ont été reçus dans une période où les défis en santé publique constituent une préoccupation majeure. Ces lauréats permettront de faciliter l’accès aux spécialités médicales aux populations les plus éloignées des grands centres urbains », a déclaré le ministre qui souligne que la santé est une déterminante clé du développement économique et social.
A l’en croire, ces nouvelles agrégations constitueraient un énorme bénéfice pour la Couverture maladie universelle (Cmu), mais aussi, des contributions des populations sont nécessaires au risque de devenir, sans le vouloir, des charges lourdes pour les familles et l'Etat».
Toutefois, il invite les nouveaux maîtres de conférences agrégés à beaucoup communiquer sur la prévention et la lutte contre les maladies en plus des charges qui seront désormais les leurs.
Selon lui, ce concours permet de mettre à la disposition des services de santé et de l’enseignement supérieur de nouveaux maîtres de conférences agrégés. « Ces titres ont été reçus dans une période où les défis en santé publique constituent une préoccupation majeure. Ces lauréats permettront de faciliter l’accès aux spécialités médicales aux populations les plus éloignées des grands centres urbains », a déclaré le ministre qui souligne que la santé est une déterminante clé du développement économique et social.
A l’en croire, ces nouvelles agrégations constitueraient un énorme bénéfice pour la Couverture maladie universelle (Cmu), mais aussi, des contributions des populations sont nécessaires au risque de devenir, sans le vouloir, des charges lourdes pour les familles et l'Etat».
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