L’ancien DG du cadastre dans les liens de la détention depuis le 4 décembre 2013 réagit depuis la Maison d’Arrêt et de Correction (MAC) de Rebeuss. C’est finalement ce mercredi que ses conseils vont déposer un recours à la Cour suprême. Ce, aux fins d’annulation des ordonnances rendues par le juge Cheikh Tidiane Bèye et Cie de la CI de la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI). Une demande de cassation qui se justifie selon les avocats de Tahibou Ndiaye par diverses raisons. Au fait pour la défense du tout nouveau détenu de Rebeuss qui avait déjà introduit une requête aux fins de refus d’informer à la CI qu’Alioune Ndao avait rejetée, il n’a rien qui justifie la dernière évolution du dossier de l’ancien DG du cadastre.
La réouverture du dossier de leur client ne s’impose donc pas du tout selon les robes noires dans la mesure où sur la première mise en demeure, une médiation pénale a été faite au cours de laquelle, Tahibou Ndiaye avait cédé des terrains ainsi que d’autres biens estimés à plus de trois (3) milliards. A cet effet, pour le même dossier, le procureur ne peut demander et obtenir réouverture de l’information alors que dans le dossier qui été censé être clôturé, aucun autre fait n’est intervenu.
En lieu et place, l’Etat ayant buté sur l’exécution de la médiation, le bras armé du recouvrement des deniers publics saisis par des conservateurs des domaines, avait de nouveau mis en branle la machine judiciaire contre l’ancien DG du cadastre qui a fini cette fois-ci par rejoindre Karim Wade, le fils du président sortant Wade dans les liens de la détention depuis le 17 avril, à Rebeuss. Ce, au moment où ses avocats continuer de dénoncer que le Parquet spécial ne peut pas intervenir même lorsqu’il y a blocage de l’exécution de la médiation. Cela relève selon eux de l’administration des domaines. La saisie de la Cour suprême prévue hier mardi, un problème de temps s’est posé. Selon une source du journal « l’as », c’est ce qui explique le recours n’a pas été déjà fait.
Affaire à suivre.
La réouverture du dossier de leur client ne s’impose donc pas du tout selon les robes noires dans la mesure où sur la première mise en demeure, une médiation pénale a été faite au cours de laquelle, Tahibou Ndiaye avait cédé des terrains ainsi que d’autres biens estimés à plus de trois (3) milliards. A cet effet, pour le même dossier, le procureur ne peut demander et obtenir réouverture de l’information alors que dans le dossier qui été censé être clôturé, aucun autre fait n’est intervenu.
En lieu et place, l’Etat ayant buté sur l’exécution de la médiation, le bras armé du recouvrement des deniers publics saisis par des conservateurs des domaines, avait de nouveau mis en branle la machine judiciaire contre l’ancien DG du cadastre qui a fini cette fois-ci par rejoindre Karim Wade, le fils du président sortant Wade dans les liens de la détention depuis le 17 avril, à Rebeuss. Ce, au moment où ses avocats continuer de dénoncer que le Parquet spécial ne peut pas intervenir même lorsqu’il y a blocage de l’exécution de la médiation. Cela relève selon eux de l’administration des domaines. La saisie de la Cour suprême prévue hier mardi, un problème de temps s’est posé. Selon une source du journal « l’as », c’est ce qui explique le recours n’a pas été déjà fait.
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