Le collectif des ex-détenus politiques a finalement renoncé à organiser le concert de casseroles initialement prévu devant le ministère de la Famille et des Solidarités. L’annonce a été faite par Baidy Niang, Directeur général du Fonds de Solidarité Nationale (FSN), sur les ondes de la RFM.
Selon lui, après une rencontre avec les autorités du ministère, les membres du collectif ont décidé d’annuler leur action. « Nous avons eu l’opportunité de les recevoir dans nos locaux pour échanger autour des préoccupations liées aux paiements. À l’issue des discussions, ils ont compris que l’État déployait les efforts nécessaires pour que tous les bénéficiaires reçoivent leur aide financière avant la fête de la Tabaski », a indiqué Baidy Niang.
Il a ajouté que les transferts ont déjà commencé : « Depuis hier (jeudi), 258 ex-détenus ont reçu chacun la somme de 500.000 FCFA ».
Pour rappel, une enveloppe globale de 5 milliards FCFA a été dégagée par l’État au profit des victimes et anciens détenus des manifestations politiques survenues entre février 2021 et février 2024. Chaque personne concernée doit percevoir une aide de 500 000 FCFA, destinée à compenser les injustices subies, telles que les arrestations arbitraires ou les actes de torture.
Selon lui, après une rencontre avec les autorités du ministère, les membres du collectif ont décidé d’annuler leur action. « Nous avons eu l’opportunité de les recevoir dans nos locaux pour échanger autour des préoccupations liées aux paiements. À l’issue des discussions, ils ont compris que l’État déployait les efforts nécessaires pour que tous les bénéficiaires reçoivent leur aide financière avant la fête de la Tabaski », a indiqué Baidy Niang.
Il a ajouté que les transferts ont déjà commencé : « Depuis hier (jeudi), 258 ex-détenus ont reçu chacun la somme de 500.000 FCFA ».
Pour rappel, une enveloppe globale de 5 milliards FCFA a été dégagée par l’État au profit des victimes et anciens détenus des manifestations politiques survenues entre février 2021 et février 2024. Chaque personne concernée doit percevoir une aide de 500 000 FCFA, destinée à compenser les injustices subies, telles que les arrestations arbitraires ou les actes de torture.