Après que 12 morts, 31 rescapés et plus de 100 disparus ont été enregistrés dans le chavirement d'une pirogue de fortune au large de la plage de Ngazobil (commune de Joal), une rescapée témoigne sur les circonstances du drame.
Selon «L’Observateur», dans sa publication du vendredi, le samedi 20 décembre, l’embarcation de pêche a quitté «clandestinement Diamaguène, un village des îles du Saloum, pour une traversée périlleuse vers l’Espagne». Parmi les voyageurs, figuraient des Gambiens, des Guinéens, des Maliens, des Sénégalais ayant «payé chacun 400.000 F CFA». Le drame débute lorsque «sous un ciel hostile, des vagues énormes s’abattent sur la coque fragile, alors que le capitaine avait des soucis pour maitriser» sa pirogue.
Dans une confession au quotidien, une rescapée gambienne révèle qu’«avant même que la pirogue ne se renverse, plusieurs hommes, dans un instinct de survie, ont quitté l’embarcation et se sont jetés à l’eau (…) un mouvement de masse, des vagues et la pirogue s’est renversée. Et c’était le sauve-qui-peut».
Après le chavirement de la pirogue, il a fallu plusieurs heures avant que les sapeurs-pompiers n’interviennent, suite à une alerte d’un conducteur de moto.
Selon «L’Observateur», dans sa publication du vendredi, le samedi 20 décembre, l’embarcation de pêche a quitté «clandestinement Diamaguène, un village des îles du Saloum, pour une traversée périlleuse vers l’Espagne». Parmi les voyageurs, figuraient des Gambiens, des Guinéens, des Maliens, des Sénégalais ayant «payé chacun 400.000 F CFA». Le drame débute lorsque «sous un ciel hostile, des vagues énormes s’abattent sur la coque fragile, alors que le capitaine avait des soucis pour maitriser» sa pirogue.
Dans une confession au quotidien, une rescapée gambienne révèle qu’«avant même que la pirogue ne se renverse, plusieurs hommes, dans un instinct de survie, ont quitté l’embarcation et se sont jetés à l’eau (…) un mouvement de masse, des vagues et la pirogue s’est renversée. Et c’était le sauve-qui-peut».
Après le chavirement de la pirogue, il a fallu plusieurs heures avant que les sapeurs-pompiers n’interviennent, suite à une alerte d’un conducteur de moto.