Les nombreux élèves admis au Brevet de fin d’études moyennes (BFEM) qui n’ont pas été orientés en classe de Seconde, n’ont pas laissé indifférents les membres du G20. Ces derniers ont assiégé l’Inspection d’Académie (IA) de Dakar pour dénoncer cette situation.
« Nous avons été alertés par une situation inédite. Des enfants qui avait l’année dernière réussie avec brio leur examen de BFEM, plus d’une cinquantaine d’entre eux sont laissés en rade sans orientation. Certains sont orientés, mais une fois sur le lycée où ils étaient orientés, on leur notifie que leur nom ne figure pas sur les listes. Et donc on ne peut pas les admettre dans ces établissements. De retour dans les centres d’orientation, on leur a fait comprendre qu’il y a eu, hier une première liste qui a été confectionnée. Et ils ne peuvent pas continuer à faire des listes additives », a indiqué Doudou Ndiaye le porte-parole du jour.
Poursuivant ses propos, il exige a ce que ces enfants soient remis dans leur droit dans les plus bref délais. « Nous pensons que ces enfants-là, on le seul tort d'avoir bien travaillé et de réussir à leur examen. C’est pourquoi le SUDES comme le G20 dénonce ce manque de coordination entre le Centre régional d’orientation et le logiciel du ministère de l'Éducation nationale, et exigent que les enfants soient remis dans leur droit dans les plus brefs délais », dit-il.
« Nous avons été alertés par une situation inédite. Des enfants qui avait l’année dernière réussie avec brio leur examen de BFEM, plus d’une cinquantaine d’entre eux sont laissés en rade sans orientation. Certains sont orientés, mais une fois sur le lycée où ils étaient orientés, on leur notifie que leur nom ne figure pas sur les listes. Et donc on ne peut pas les admettre dans ces établissements. De retour dans les centres d’orientation, on leur a fait comprendre qu’il y a eu, hier une première liste qui a été confectionnée. Et ils ne peuvent pas continuer à faire des listes additives », a indiqué Doudou Ndiaye le porte-parole du jour.
Poursuivant ses propos, il exige a ce que ces enfants soient remis dans leur droit dans les plus bref délais. « Nous pensons que ces enfants-là, on le seul tort d'avoir bien travaillé et de réussir à leur examen. C’est pourquoi le SUDES comme le G20 dénonce ce manque de coordination entre le Centre régional d’orientation et le logiciel du ministère de l'Éducation nationale, et exigent que les enfants soient remis dans leur droit dans les plus brefs délais », dit-il.
Autres articles
-
Baisse du coût de la vie : le Président Diomaye en "aparté" avec le secteur privé ce mardi
-
Corruption dans la délivrance des actes de naissance : le président du tribunal de Mbacké met en garde les agents de l’état civil
-
Guédiawaye : Des chauffeurs de taxi clandos observent une grève illimitée
-
Université de Ziguinchor : le SAES contre une prolongation du mandat du recteur et exige le paiement sans délais des heures complémentaires
-
Daaka de Médina Gounass : l'Etat a pris les devants pour une bonne organisation