L'opération de ratissage des forces armées maliennes a sillonné de nombreux villages dont Toubacoura, Toubacoro, N’Gounadou ou encore Ballaba. Depuis jeudi, ces localités étaient occupées par des groupes radicaux qui ordonnaient la fermeture des écoles. Ces présumés djihadistes avaient interdit du coup, les salles de classes aux élèves et leurs maîtres et les cérémonies de mariage et baptême aux populations. Privant ainsi des milieux d’enfants à l’éducation. C’est pourquoi, l’armée malienne a procédé cette patrouille d’envergure arrêtant des suspects afin de couper court aux rumeurs et aux menaces.
Interrogé sur la présence de ces groupes terroristes à moins de 200 km de Bamako, Dr. Moussa Bolly, expert en sécurité estime : je cite «Cela doit pousser l’élite militaire à élargir son champ d’action et interpeller les populations à ne pas rester indifférentes». Fin de citation.
Interrogé sur la présence de ces groupes terroristes à moins de 200 km de Bamako, Dr. Moussa Bolly, expert en sécurité estime : je cite «Cela doit pousser l’élite militaire à élargir son champ d’action et interpeller les populations à ne pas rester indifférentes». Fin de citation.
Autres articles
-
En Côte d'Ivoire, Laurent Gbagbo officiellement investi à la présidentielle par son parti
-
Présidentielle en Mauritanie: l’ex-chef de l’État Ould Abdel Aziz, condamné en 2023, a déposé sa candidature
-
Madagascar: l'Église catholique dénonce la loi autorisant la castration des pédophiles
-
Mali: «l'armée ne doit pas justifier ses exactions par celles des terroristes», selon Amnesty
-
RDC: le principe de la révision de la loi de finances 2024 est acté