Les amis de Jacob Zuma savent se montrer très généreux avec le chef de l'Etat. C'est notamment le cas de la société Bosasa, qui a versé 200 000 euros pour organiser les fêtes d'anniversaire du président en 2015 et 2016.
A l'époque, la présidence publie un communiqué indiquant que le chef de l'Etat a fêté ses 73 ans entouré de ses proches, lors d'une soirée « intime ».
Pourtant, les photos tout juste publiées par la presse sud-africaine montrent autre chose : on y voit Jacob Zuma danser au milieu d'une foule de convives - ils étaient 300 - et recevoir un cadeau des mains des responsables de la société Bosasa.
Aujourd'hui, cette compagnie a changé de nom, et elle est accusée d'avoir versé d’importants pots-de-vin aux services pénitentiaires sud-africains, afin d'obtenir certains marchés publics.
Ces révélations s'ajoutent à celles contenues dans le livre « Les gardiens du président », qui affirme notamment que Jacob Zuma a été employé au début de son premier mandat par une compagnie de sécurité détenue par l'un de ses amis.
Une position totalement « inconstitutionnelle » pour laquelle le président aurait été rémunéré 61 000 euros par mois, un salaire sur lequel il n'aurait jamais payé d'impôt.
La Fondation Jacob Zuma a dû confirmer que les anniversaires du chef de l'Etat ont été payés par la compagnie Bosasa, mais elle dément toute irrégularité, préférant parler d'une simple prestation de service.
A l'époque, la présidence publie un communiqué indiquant que le chef de l'Etat a fêté ses 73 ans entouré de ses proches, lors d'une soirée « intime ».
Pourtant, les photos tout juste publiées par la presse sud-africaine montrent autre chose : on y voit Jacob Zuma danser au milieu d'une foule de convives - ils étaient 300 - et recevoir un cadeau des mains des responsables de la société Bosasa.
Aujourd'hui, cette compagnie a changé de nom, et elle est accusée d'avoir versé d’importants pots-de-vin aux services pénitentiaires sud-africains, afin d'obtenir certains marchés publics.
Ces révélations s'ajoutent à celles contenues dans le livre « Les gardiens du président », qui affirme notamment que Jacob Zuma a été employé au début de son premier mandat par une compagnie de sécurité détenue par l'un de ses amis.
Une position totalement « inconstitutionnelle » pour laquelle le président aurait été rémunéré 61 000 euros par mois, un salaire sur lequel il n'aurait jamais payé d'impôt.
La Fondation Jacob Zuma a dû confirmer que les anniversaires du chef de l'Etat ont été payés par la compagnie Bosasa, mais elle dément toute irrégularité, préférant parler d'une simple prestation de service.
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