Une marche silencieuse, une banderole de l’UDPS pour seule explication, ce sont quelque 200 militants qui ont ainsi défilé : « Cela nous fait très mal, nous regrettons nos compatriotes qui ont trouvé la mort, donc c’est un jour que nous n’oublierons jamais dans notre vie. Kabila doit partir », témoigne un homme. A ses côtés, un autre militant est d’accord : « Les Congolais doivent aller au dialogue. S’il n’y a pas de dialogue, Kabila doit partir ».
Aucune présence policière à signaler, même lorsque les militants de l’UDPS bloquent la circulation sur le principal boulevard qui amène à Limété. Les automobilistes se sont énervés, mais les agents de la circulation n’ont pas bougé, comme le souligne un manifestant : « Ils savent que les choses vont changer. Aujourd’hui, ils sont dans une position de faiblesse ».
Une fois rentré au siège de l’UDPS, c’est son secrétaire général, Bruno Mavungu qui plaide pour la réconciliation auprès de ses militants : « Nous espérons aller aux prochaines élections non plus comme des ennemis prêts à se tuer, mais plutôt comme des adversaires politiques et mieux encore comme des frères et sœurs réconciliés ».
Les militants de l’UDPS plaident pour la libération de ce qu’ils qualifient de prisonniers politiques. « Ce sont des Congolais, ils doivent participer au dialogue », répètent-ils tout au long de l’après-midi.
source:rfi.fr
Aucune présence policière à signaler, même lorsque les militants de l’UDPS bloquent la circulation sur le principal boulevard qui amène à Limété. Les automobilistes se sont énervés, mais les agents de la circulation n’ont pas bougé, comme le souligne un manifestant : « Ils savent que les choses vont changer. Aujourd’hui, ils sont dans une position de faiblesse ».
Une fois rentré au siège de l’UDPS, c’est son secrétaire général, Bruno Mavungu qui plaide pour la réconciliation auprès de ses militants : « Nous espérons aller aux prochaines élections non plus comme des ennemis prêts à se tuer, mais plutôt comme des adversaires politiques et mieux encore comme des frères et sœurs réconciliés ».
Les militants de l’UDPS plaident pour la libération de ce qu’ils qualifient de prisonniers politiques. « Ce sont des Congolais, ils doivent participer au dialogue », répètent-ils tout au long de l’après-midi.
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