es propositions des transporteurs concernent, entre autres, l’augmentation des prix des transports urbains et interurbains, l’annulation des contrôles routiers autorisés, souvent source de tracasseries avec les policiers et les gendarmes, mais aussi une revalorisation conséquente du smic.
La Confédération générale des syndicats des transports du Cameroun (CGSTC), qui porte ces revendications, a ainsi accepté de différer sur un mois le mot d’ordre de grève générale initialement lancée, le temps pour le gouvernement d’examiner et de répondre à ces propositions.
Un moratoire trop complaisant pour certains
D'autres continuent néanmoins d’exercer une pression sur le gouvernement et se désolidarisent de ce moratoire jugé trop complaisant. Les associations de consommateurs qui souhaitent revoir la structure des prix et l’annulation de certaines taxes, sur les projets pétroliers notamment, envisagent pour le 22 juillet un sit-in devant les services du Premier ministre.
Pour sa part, le gouvernement s’est déjà engagé sur un certain nombre de mesures d’accompagnement, essentiellement la revalorisation des salaires des fonctionnaires et la suppression de certaines taxes. Entre temps, l’augmentation des prix à la pompe est, elle, déjà effective.
Source : Rfi.fr
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