
La fin du compagnonnage entre le parti d’Idrissa Seck et la coalition de la mouvance présidentielle, Benno Bokk Yaakaar (BBY) est une mince affaire pour le nouveau gouvernement. C’est du moins ce que laissent comprendre les propos du porte-parole du gouvernement, Abdou Latif Coulibaly hier lors de son point de presse tenu au sortir de la réunion du Conseil des ministres.
A la question le départ de Rewmi constitue-t-il un gêne pour le président, le ministre de la Bonne gouvernance se demande « en quoi un départ pareil pourrait gêner un président de la République ? ». « Ça n’a absolument rien à voir avec la conduite de l’action gouvernementale », a laissé entendre Abdou Latif Coulibaly qui rappelle que « nous sommes en démocratie. La personne dont vous avez parlé, c’est un allié politique, un homme politique de dimension nationale. Il était dans une alliance où il ne se sent plus à l’aise, il est parti. Quoi de plus normal ».
La voix du gouvernement souhaite toutefois que « dans le cadre d’une démocratie, qu’il y ait des opposants de valeur. Il peut en être un. Donc c’est la démocratie, il n’y a aucun problème à ce niveau. Ça n’a pas fait l’objet de préoccupation ». M. Coulibaly d’indiquer d’ailleurs qu’ « un tel sujet ne peut être évoqué en Conseil des ministres ».
A la question le départ de Rewmi constitue-t-il un gêne pour le président, le ministre de la Bonne gouvernance se demande « en quoi un départ pareil pourrait gêner un président de la République ? ». « Ça n’a absolument rien à voir avec la conduite de l’action gouvernementale », a laissé entendre Abdou Latif Coulibaly qui rappelle que « nous sommes en démocratie. La personne dont vous avez parlé, c’est un allié politique, un homme politique de dimension nationale. Il était dans une alliance où il ne se sent plus à l’aise, il est parti. Quoi de plus normal ».
La voix du gouvernement souhaite toutefois que « dans le cadre d’une démocratie, qu’il y ait des opposants de valeur. Il peut en être un. Donc c’est la démocratie, il n’y a aucun problème à ce niveau. Ça n’a pas fait l’objet de préoccupation ». M. Coulibaly d’indiquer d’ailleurs qu’ « un tel sujet ne peut être évoqué en Conseil des ministres ».
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