
A l’occasion de la table ronde organisée par les Alumni de la Fondation Friedrich Ebert, le vice-président du Haut Conseil du Dialogue Social (HCDS), Pape Birame Diallo a analysé la « douloureuse » situation politique qu’a vécu le Sénégal.
Selon lui, l’une des principales causes de cette situation est « l’effondrement de notre notre système de valeurs fondamentales, qu’on ne retrouve plus ». « Heureusement le peuple a puisé de ce qu’il a de plus fort pour conserver nos acquis nationaux », a-t-il souligné. Pape Birame Diallo n’a pas manqué d’énumérer les autres causes de la « fissure sociale du Sénégal ».
Il liste : « Il y a aussi la mauvaise gouvernance caractérisée par la corruption, le népotisme, l’impunité, l’abus du pouvoir, l’insécurité juridique. Il y a aussi un problème de la liberté d’expression et de manifester de la population, ainsi qu’un repli identitaire ».
Et de poursuivre : « Cette situation est également caractérisée par la pauvreté, la famine, la maladie et la précarité sociale caractérisée par une consommation excessive avec des revenus faibles. Il ne peut y a voir de paix ou de dialogue sans régler ces fléaux ».
Le membre du HCDS a salué néanmoins l’élan du nouveau Président de la République, Bassirou Diomaye Faye dans le sens de la concertation nationale et a formulé des recommandations pour « une réconciliation et une reconstruction des bases sociales solides ».
Pour Pape Birame Diallo, il faudra « promouvoir une participation citoyenne inclusive en organisant de larges concertations citoyennes sur l’ensemble du territoire national, adopter un code de conduite en s’inspirant de nos valeurs traditionnelles et républicaines et enfin mettre en place un mécanisme de suivi et d’évaluation des changements qui peuvent survenir tout au long du processus », a-t-il conclu.
Selon lui, l’une des principales causes de cette situation est « l’effondrement de notre notre système de valeurs fondamentales, qu’on ne retrouve plus ». « Heureusement le peuple a puisé de ce qu’il a de plus fort pour conserver nos acquis nationaux », a-t-il souligné. Pape Birame Diallo n’a pas manqué d’énumérer les autres causes de la « fissure sociale du Sénégal ».
Il liste : « Il y a aussi la mauvaise gouvernance caractérisée par la corruption, le népotisme, l’impunité, l’abus du pouvoir, l’insécurité juridique. Il y a aussi un problème de la liberté d’expression et de manifester de la population, ainsi qu’un repli identitaire ».
Et de poursuivre : « Cette situation est également caractérisée par la pauvreté, la famine, la maladie et la précarité sociale caractérisée par une consommation excessive avec des revenus faibles. Il ne peut y a voir de paix ou de dialogue sans régler ces fléaux ».
Le membre du HCDS a salué néanmoins l’élan du nouveau Président de la République, Bassirou Diomaye Faye dans le sens de la concertation nationale et a formulé des recommandations pour « une réconciliation et une reconstruction des bases sociales solides ».
Pour Pape Birame Diallo, il faudra « promouvoir une participation citoyenne inclusive en organisant de larges concertations citoyennes sur l’ensemble du territoire national, adopter un code de conduite en s’inspirant de nos valeurs traditionnelles et républicaines et enfin mettre en place un mécanisme de suivi et d’évaluation des changements qui peuvent survenir tout au long du processus », a-t-il conclu.
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