
Va-t-on vers une paralysie du système éducatif dans la banlieue? Toute porte à le croire. Pour cause, les tentes promises par les autorités et devant faire office de salles de classe en attendant la réfection des bâtiments du Lycée Seydina Limamou Laye (LSLL) ne sont toujours pas encore disponibles.
Le porte-parole des enseignants du Lycée Seydina Limamou Laye, Sondé Diouf de menacer : «si rien n’est fait d’ici le 21 octobre, le système éducatif dans la banlieue risque de connaitre une paralysie». Il a rappelé : «nous avions attiré l’attention des autorités en juillet dernier. Mais depuis lors, les tentes n’ont pas été disponibles. Et nous mettrons en applications les menaces car jusqu’à présent, on n’a noté aucune évolution», peste-t-il.
Sur la même lancée, il fera savoir que l’association des élèves et étudiants de Guédiawaye a décidé d’apporter leur aide. A l’en croire, ce sont eux-mêmes les professeurs qui leur avaient demandé d’attendre d’y croire plus clair.
Abdoul K. Diop (Correspondant dans la banlieue)
Le porte-parole des enseignants du Lycée Seydina Limamou Laye, Sondé Diouf de menacer : «si rien n’est fait d’ici le 21 octobre, le système éducatif dans la banlieue risque de connaitre une paralysie». Il a rappelé : «nous avions attiré l’attention des autorités en juillet dernier. Mais depuis lors, les tentes n’ont pas été disponibles. Et nous mettrons en applications les menaces car jusqu’à présent, on n’a noté aucune évolution», peste-t-il.
Sur la même lancée, il fera savoir que l’association des élèves et étudiants de Guédiawaye a décidé d’apporter leur aide. A l’en croire, ce sont eux-mêmes les professeurs qui leur avaient demandé d’attendre d’y croire plus clair.
Abdoul K. Diop (Correspondant dans la banlieue)