L’Association des Éditeurs et Professionnels de la presse en ligne (APPEL) dit être en phase avec le président, Macky Sall. Qui, en réunion de Conseil des ministres, en date du 23 décembre 2020, a insisté sur la nécessité d’une régulation systématique des sites d’informations.
Mieux, l'association est " disposée à prendre toutes les dispositions nécessaires pour l’assainissement du milieu de la presse en ligne dans toutes ses composantes, afin de préserver la cohésion nationale, ainsi que les valeurs culturelles de notre chère Nation."
Cependant, l'association dont le président est Ibrahima Lissa Faye rappelle à l'Etat que depuis plus de trois ans, tous les textes qui doivent permettre l'application effective du code de la presse sont bloqués dans les arcanes du pouvoir.
" Aujourd’hui, beaucoup de dispositions de ce Code de la presse notamment celles liées au cahier de charges, aux modalités de mise en place d’un site d’information n’ont pas besoin de texte d’application. Ces articles sont applicables et ne nécessitent quasiment aucune procédure complémentaire. Par contre, les dispositions essentielles, qui traitent directement de l’assainissement, de la régulation ou de la réglementation de la presse en ligne, sont contenues dans les textes d’application. Il s’agit notamment de la loi instituant la Haute Autorité pour la Régulation des Communications Audiovisuelles (HARCA) et du décret portant sur les avantages et les obligations des entreprises de presse. Or, tous ces textes, qui doivent permettre l’application effective du Code de la presse sont bloqués, depuis plus de trois ans, dans les arcanes du pouvoir", déplore le président dans un communiqué.
Par ailleurs, les Éditeurs et Professionnels de la Presse en ligne estiment ainsi que le Gouvernement dispose "de la clé de la solution pour la réglementation et la régulation de la presse. Il suffit d’appliquer les textes. Et l’État est le seul à disposer de la puissance publique et de la mission régalienne pour faire appliquer les lois et règlements. Cette alerte du Chef de l’État vient à son heure. Elle devrait être saisie au rebond par le ministre de la Culture et de la Communication, pour voir les modalités de mise en œuvre. A ce propos, nous, acteurs de la presse en ligne, attendons l’ouverture de pourparlers", conclut le document.
Mieux, l'association est " disposée à prendre toutes les dispositions nécessaires pour l’assainissement du milieu de la presse en ligne dans toutes ses composantes, afin de préserver la cohésion nationale, ainsi que les valeurs culturelles de notre chère Nation."
Cependant, l'association dont le président est Ibrahima Lissa Faye rappelle à l'Etat que depuis plus de trois ans, tous les textes qui doivent permettre l'application effective du code de la presse sont bloqués dans les arcanes du pouvoir.
" Aujourd’hui, beaucoup de dispositions de ce Code de la presse notamment celles liées au cahier de charges, aux modalités de mise en place d’un site d’information n’ont pas besoin de texte d’application. Ces articles sont applicables et ne nécessitent quasiment aucune procédure complémentaire. Par contre, les dispositions essentielles, qui traitent directement de l’assainissement, de la régulation ou de la réglementation de la presse en ligne, sont contenues dans les textes d’application. Il s’agit notamment de la loi instituant la Haute Autorité pour la Régulation des Communications Audiovisuelles (HARCA) et du décret portant sur les avantages et les obligations des entreprises de presse. Or, tous ces textes, qui doivent permettre l’application effective du Code de la presse sont bloqués, depuis plus de trois ans, dans les arcanes du pouvoir", déplore le président dans un communiqué.
Par ailleurs, les Éditeurs et Professionnels de la Presse en ligne estiment ainsi que le Gouvernement dispose "de la clé de la solution pour la réglementation et la régulation de la presse. Il suffit d’appliquer les textes. Et l’État est le seul à disposer de la puissance publique et de la mission régalienne pour faire appliquer les lois et règlements. Cette alerte du Chef de l’État vient à son heure. Elle devrait être saisie au rebond par le ministre de la Culture et de la Communication, pour voir les modalités de mise en œuvre. A ce propos, nous, acteurs de la presse en ligne, attendons l’ouverture de pourparlers", conclut le document.
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