L’Agence sénégalaise de la reforestation de la Grande muraille verte (ASERGMV) et la Fondation de l’Office chérifien des phosphates (OCP), ont signé lundi, une convention d’un montant de 2,2 millions d’euros, soit 1,4 milliard de francs CFA, pour lutter contre les changements climatiques et promouvoir la biodiversité.
« La signature de cette convention d’un montant global de 2,2 millions d’euros, soit 1,4 milliard de francs CFA vient déclencher le processus de mise en œuvre d’un projet de 3 ans visant spécifiquement 4 axes de partenariat », a expliqué Oumar Abdoulaye Bâ, le Directeur général de l’agence.
Il s’agit d’un renforcement des capacités techniques et managériales avec pour objectif d’atténuer les conséquences des changements climatiques et accroître l’autonomie des acteurs ruraux.
Le deuxième axe implique le soutien et l’accompagnement en matière de bonnes pratiques agricoles dans le respect de l’environnement à travers des projets pilotes communautaires visant l’amélioration des conditions de vie des communautés notamment les femmes et les jeunes.
Le troisième volet concerne la recherche, l’échange scientifique et le partage d’expériences autour des approches inclusives permettant la préservation durable de l’environnement et enfin la régénération de la biodiversité faunique et floristique par le biais du reboisement et la connaissance de la qualité de l’eau.
Evoquant l’aspect de la recherche dans ce projet, le directeur général estime que « le partage transversal de données scientifiques collectées est important dans le processus de mise en œuvre de ce projet pour s’enquérir de la qualité des sols, la disponibilité de l’eau, entre autres ».
« Le tracé de la Grande muraille verte est une zone qui demande de déployer des efforts pour disposer d’eau », a relevé M. Bâ, soulignant que la reforestation de cette zone demande nécessairement la disponibilité de l’eau.
Avec APS
« La signature de cette convention d’un montant global de 2,2 millions d’euros, soit 1,4 milliard de francs CFA vient déclencher le processus de mise en œuvre d’un projet de 3 ans visant spécifiquement 4 axes de partenariat », a expliqué Oumar Abdoulaye Bâ, le Directeur général de l’agence.
Il s’agit d’un renforcement des capacités techniques et managériales avec pour objectif d’atténuer les conséquences des changements climatiques et accroître l’autonomie des acteurs ruraux.
Le deuxième axe implique le soutien et l’accompagnement en matière de bonnes pratiques agricoles dans le respect de l’environnement à travers des projets pilotes communautaires visant l’amélioration des conditions de vie des communautés notamment les femmes et les jeunes.
Le troisième volet concerne la recherche, l’échange scientifique et le partage d’expériences autour des approches inclusives permettant la préservation durable de l’environnement et enfin la régénération de la biodiversité faunique et floristique par le biais du reboisement et la connaissance de la qualité de l’eau.
Evoquant l’aspect de la recherche dans ce projet, le directeur général estime que « le partage transversal de données scientifiques collectées est important dans le processus de mise en œuvre de ce projet pour s’enquérir de la qualité des sols, la disponibilité de l’eau, entre autres ».
« Le tracé de la Grande muraille verte est une zone qui demande de déployer des efforts pour disposer d’eau », a relevé M. Bâ, soulignant que la reforestation de cette zone demande nécessairement la disponibilité de l’eau.
Avec APS
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