
Les militaires de l’opération Barkhane viennent de mener plusieurs actions dans le centre du Mali autour de la ville de Mopti. 50 ‘terroristes’ ont été neutralisés. Cela fragilise le dispositif selon l’armée française
Deux opérations distinctes, autour de Mopti
Ces opérations ont été menées en deux phases. La première s’est déroulée entre le 9 et le 10 février, au nord-ouest de Mopti. Des frappes aériennes de drone et de Mirage 2000, couplées à l’engagement d’hélicoptères de combat ont d’abord « permis de neutraliser une vingtaine de combattants armés. Parmi eux se trouvait un cadre de l’État islamique dans le Grand Sahara » (EIGS) indique l’état-major des armées.
La deuxième action a été menée entre le 16 et le 17 février, au sud de Mopti, dans une région où la Katiba Macina est comme un poisson dans l’eau. Cette fois, « les frappes aériennes et tirs d’hélicoptères de combat ont été accompagnés d’un assaut héliporté. Une trentaine de combattants djihadistes ont été mis hors de combat. »
Une cinquantaine de terroristes tués
En tout, ainsi ces actions — bien préparées en amont par du renseignement, permettant d’identifier avec certitude les groupes terroristes — ont permis de « neutraliser une cinquantaine de membres [de groupes terroristes], de détruire une trentaine de motos et deux pickups, et enfin de saisir de l’armement, des téléphones et du matériel électronique ». Ces deux opérations « au bilan matériel et humain très lourd, fragilisent le potentiel offensif des groupes armés terroristes dans cette région » précise-t-on à l’EMA.
Deux opérations distinctes, autour de Mopti
Ces opérations ont été menées en deux phases. La première s’est déroulée entre le 9 et le 10 février, au nord-ouest de Mopti. Des frappes aériennes de drone et de Mirage 2000, couplées à l’engagement d’hélicoptères de combat ont d’abord « permis de neutraliser une vingtaine de combattants armés. Parmi eux se trouvait un cadre de l’État islamique dans le Grand Sahara » (EIGS) indique l’état-major des armées.
La deuxième action a été menée entre le 16 et le 17 février, au sud de Mopti, dans une région où la Katiba Macina est comme un poisson dans l’eau. Cette fois, « les frappes aériennes et tirs d’hélicoptères de combat ont été accompagnés d’un assaut héliporté. Une trentaine de combattants djihadistes ont été mis hors de combat. »
Une cinquantaine de terroristes tués
En tout, ainsi ces actions — bien préparées en amont par du renseignement, permettant d’identifier avec certitude les groupes terroristes — ont permis de « neutraliser une cinquantaine de membres [de groupes terroristes], de détruire une trentaine de motos et deux pickups, et enfin de saisir de l’armement, des téléphones et du matériel électronique ». Ces deux opérations « au bilan matériel et humain très lourd, fragilisent le potentiel offensif des groupes armés terroristes dans cette région » précise-t-on à l’EMA.
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