Le président Patrice Talon a réagi sur deux plans. Sur un plan politique d'abord, il a confirmé avoir pris acte de la démission de son ministre de la Défense. Et puis sur un plan personnel. D'après une source à la présidence, le chef de l'Etat a eu cette phrase à l'égard de Candide Azannaï : « c'est mon ami et il reste mon ami ».
Azannaï était un compagnon de la première heure de Patrice Talon, il est resté silencieux depuis son départ lundi. On ne sait toujours pas quelles sont les raisons qui l'ont motivé à partir.
Le Parlement sera saisi pour la nomination d'un remplaçant en vue d'un remaniement technique, le premier du gouvernement qui, dans une semaine, passera le cap de sa 1ere année au pouvoir.
En attendant, c'est le chef de l'Etat qui va gérer le portefeuille de la Défense, de fait, il en était titulaire puisque Candide Azannaï était ministre délégué. Au Bénin, le poste a toujours été sous le contrôle étroit du président.
Patrice Talon se donne donc un peu de temps pour réorganiser son équipe. D'après notre source à la présidence, le choix du remplaçant n'est pas encore à l'ordre du jour. Pour un observateur de la vie politique, il attendra peut-être la fin des débats sur le projet de révision de la Constitution à l'Assemblée nationale.
Azannaï était un compagnon de la première heure de Patrice Talon, il est resté silencieux depuis son départ lundi. On ne sait toujours pas quelles sont les raisons qui l'ont motivé à partir.
Le Parlement sera saisi pour la nomination d'un remplaçant en vue d'un remaniement technique, le premier du gouvernement qui, dans une semaine, passera le cap de sa 1ere année au pouvoir.
En attendant, c'est le chef de l'Etat qui va gérer le portefeuille de la Défense, de fait, il en était titulaire puisque Candide Azannaï était ministre délégué. Au Bénin, le poste a toujours été sous le contrôle étroit du président.
Patrice Talon se donne donc un peu de temps pour réorganiser son équipe. D'après notre source à la présidence, le choix du remplaçant n'est pas encore à l'ordre du jour. Pour un observateur de la vie politique, il attendra peut-être la fin des débats sur le projet de révision de la Constitution à l'Assemblée nationale.
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