C’est aux alentours de 23h30, le 28 février, que Maurice Kamto et ses coaccusés sont retournés à la prison principale de Kondengui, où ils sont détenus depuis leur inculpation le 13 février dernier, dans le cadre des marches blanches du 26 janvier. Quelques minutes plus tôt, le président du tribunal de première instance de Yaoundé renvoyait le rappeur Valsero – le dernier accusé à plaider – et les autres coaccusés au 7 mars prochain, pour le délibéré.
Un renvoi qui mettait ainsi fin à un long feuilleton judiciaire entamé à 11h03, au cours duquel Maurice Kamto, Christian Penda Ekoka, Célestin Djamen, Alain Fogue, Paul-Eric Kingue et Valsero se sont successivement présentés devant le juge. « Nous avons demandé au juge d’habeas corpus de constater les violations répétées de la loi dans cette procédure judiciaire et d’ordonner une remise en liberté immédiate de nos clients », a déclaré à Jeune Afrique Me Emmanuel Simh, membre du collège d’avocats de la défense.
Un renvoi qui mettait ainsi fin à un long feuilleton judiciaire entamé à 11h03, au cours duquel Maurice Kamto, Christian Penda Ekoka, Célestin Djamen, Alain Fogue, Paul-Eric Kingue et Valsero se sont successivement présentés devant le juge. « Nous avons demandé au juge d’habeas corpus de constater les violations répétées de la loi dans cette procédure judiciaire et d’ordonner une remise en liberté immédiate de nos clients », a déclaré à Jeune Afrique Me Emmanuel Simh, membre du collège d’avocats de la défense.
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