La cérémonie se veut « sobre » – 300 invités tout de même – et se déroulera à la présidence sous la forme d’une audience du Conseil constitutionnel. Alassane Ouattara prêtera serment sur la Constitution, puis se verra remettre le « Grand collier de l’ordre ». Ensuite il prononcera une adresse solennelle avant les honneurs militaires.
Suivra un déjeuner officiel auquel devraient participer selon la présidence, une dizaine de chefs d’État, tels que le Béninois Patrice Talon, le Togolais Faure Gnassingbé, le Congolais Denis Sassou-Nguesso ou encore le Ghanéen Nana Akufo-Addo, président en exercice de la Cédéao. La France, elle, sera représentée par son ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian.
Alassane Ouattara prête serment dans un contexte intérieur de blocage politique, malgré une décrispation amorcée le 11 novembre par une rencontre avec le leader du PDCI, Henri Konan Bédié. Processus resté au point mort depuis.
La semaine dernière, par la voix d’Henri Konan Bédié, l’opposition, tout en rejetant encore une fois la réélection d’Alassane Ouattara, a appelé à un « dialogue national » inclusif, notamment pour réformer la Constitution et organiser de nouvelles élections. « Une provocation » et un « aveu d’échec », a rétorqué pour sa part le RHDP, le parti au pouvoir.
Suivra un déjeuner officiel auquel devraient participer selon la présidence, une dizaine de chefs d’État, tels que le Béninois Patrice Talon, le Togolais Faure Gnassingbé, le Congolais Denis Sassou-Nguesso ou encore le Ghanéen Nana Akufo-Addo, président en exercice de la Cédéao. La France, elle, sera représentée par son ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian.
Alassane Ouattara prête serment dans un contexte intérieur de blocage politique, malgré une décrispation amorcée le 11 novembre par une rencontre avec le leader du PDCI, Henri Konan Bédié. Processus resté au point mort depuis.
La semaine dernière, par la voix d’Henri Konan Bédié, l’opposition, tout en rejetant encore une fois la réélection d’Alassane Ouattara, a appelé à un « dialogue national » inclusif, notamment pour réformer la Constitution et organiser de nouvelles élections. « Une provocation » et un « aveu d’échec », a rétorqué pour sa part le RHDP, le parti au pouvoir.
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