Finalement dans la composition du conseil national de régulation de l’audiovisuel on retrouve trois anciens et un actuel agent de la RTS. Le président Babacar Diagne, son conseiller Mamadou Ball, les membres Lucky Patrick Mendy et Ibrahima Sané. On se rappelle le duo Ibrahima Sané et Babacar Diagne à la tête de la télévision et de la radio nationales au temps du PS. Aujourd’hui les deux amis se retrouvent pour surveiller le fonctionnement des médias. Parlant de Ibrahima Sané, il est écrit que c’est pour représenter le troisième âge. Des organisations qui représentent cette catégorie de la population sénégalaise existent peut-être chez-nous, on pouvait faire le choix dans ce sens. En plus, Lucky Patrick Mendy, le technicien de la RTS est pris comme le représentant des professionnels de l’information et de la communication.
Pour la présence d’anciens de la RTS, on peut relever que c’était un peu le cas avec l’équipe sortante où l’on retrouvait plusieurs acteurs venant du privé comme Jean Meissa Diop (Walf), Ibrahima Bakhoum (Aps et Sud COM) mais aussi le président Babacar Touré (Sud COM).
Au finish ce qui compte c’est le professionnalisme et la responsabilité des membres du CNRA. Depuis longtemps certains de leurs avis ou décisions sont décriés par certains patrons de presse. C’était le cas souvent avec le défunt Sidy Lamine Niasse.
Il faut réfléchir sur la composition du conseil qui doit dépasser les observations et les avis pour orienter la presse vers des mutations qui prennent en charge les évolutions de nos sociétés et qui s’adaptent aux révolutions technologiques.
Pour la présence d’anciens de la RTS, on peut relever que c’était un peu le cas avec l’équipe sortante où l’on retrouvait plusieurs acteurs venant du privé comme Jean Meissa Diop (Walf), Ibrahima Bakhoum (Aps et Sud COM) mais aussi le président Babacar Touré (Sud COM).
Au finish ce qui compte c’est le professionnalisme et la responsabilité des membres du CNRA. Depuis longtemps certains de leurs avis ou décisions sont décriés par certains patrons de presse. C’était le cas souvent avec le défunt Sidy Lamine Niasse.
Il faut réfléchir sur la composition du conseil qui doit dépasser les observations et les avis pour orienter la presse vers des mutations qui prennent en charge les évolutions de nos sociétés et qui s’adaptent aux révolutions technologiques.
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