Une épaisse couche de cendre volcanique recouvre désormais l'archipel. Cinq jours après l'éruption du volcan Hunga Tonga-Hunga Ha’apai, les dégâts matériels semblent considérables. Et en raison de l'interruption des communications téléphoniques et d'internet, difficile de quantifier l'étendue de la catastrophe.
Rachel Afeaki-Taumoepeau, présidente du conseil d’entreprise Nouvelle-Zélande - Tonga, a pu enfin joindre sa famille au bout de cinq jours. Ses proches lui ont fait part de leurs inquiétudes et elle raconte au micro de Cléa Broadhurst du service international. « Il faut le bon matériel pour nettoyer les cendres, surtout dans les endroits pas faciles d’accès.
Les cendres sont tombées partout sur l’île, non seulement sur les infrastructures, mais sur toute l’agriculture. Cela veut dire que toutes les récoltes sont détruites, et il faut voir ce qu’il est possible de sauver sous les cendres. »
« L'urgence est alimentaire, lui ont-ils expliqué. Il y a une pénurie de nourriture, les magasins peinent à subvenir aux besoins des habitants, de plus, les prix ont augmenté. Et bien sûr, l’autre problème, c’est l’eau : les premiers jours, personne ne savait si l’on pouvait boire l’eau, surtout si l’on n'a pas de filtre pour retirer les cendres ». Des navires australiens et néo-zélandais sont arrivés sur place avec des plongeurs. Ils apportent de l'eau potable ainsi qu'une unité de dessalement pouvant fournir 70 000 litres par jour.
Un énorme champignon de fumée de 30 km de hauteur a dispersé cendres, gaz et pluies acides à travers la région Pacifique avant d'être suivie d'un tsunami. L’océan Pacifique a ainsi été traversé d'une onde de choc qui a déstabilisé un tanker qui procédait à son déchargement au Pérou, 10 000 km plus loin, provoquant une marée noire. L'éruption volcanique du 15 janvier serait la plus importante enregistrée depuis des décennies.
Rachel Afeaki-Taumoepeau, présidente du conseil d’entreprise Nouvelle-Zélande - Tonga, a pu enfin joindre sa famille au bout de cinq jours. Ses proches lui ont fait part de leurs inquiétudes et elle raconte au micro de Cléa Broadhurst du service international. « Il faut le bon matériel pour nettoyer les cendres, surtout dans les endroits pas faciles d’accès.
Les cendres sont tombées partout sur l’île, non seulement sur les infrastructures, mais sur toute l’agriculture. Cela veut dire que toutes les récoltes sont détruites, et il faut voir ce qu’il est possible de sauver sous les cendres. »
« L'urgence est alimentaire, lui ont-ils expliqué. Il y a une pénurie de nourriture, les magasins peinent à subvenir aux besoins des habitants, de plus, les prix ont augmenté. Et bien sûr, l’autre problème, c’est l’eau : les premiers jours, personne ne savait si l’on pouvait boire l’eau, surtout si l’on n'a pas de filtre pour retirer les cendres ». Des navires australiens et néo-zélandais sont arrivés sur place avec des plongeurs. Ils apportent de l'eau potable ainsi qu'une unité de dessalement pouvant fournir 70 000 litres par jour.
Un énorme champignon de fumée de 30 km de hauteur a dispersé cendres, gaz et pluies acides à travers la région Pacifique avant d'être suivie d'un tsunami. L’océan Pacifique a ainsi été traversé d'une onde de choc qui a déstabilisé un tanker qui procédait à son déchargement au Pérou, 10 000 km plus loin, provoquant une marée noire. L'éruption volcanique du 15 janvier serait la plus importante enregistrée depuis des décennies.
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