Une agence communautaire de supervision de la sûreté de la sécurité de l’espace aérien de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africain (UEMOA) est en gestation. En effet, selon Rafaël Marie Salambéré, expert en droit aérien «cette agence aura comme mission de délivrer des agréments et des autorisations, de contrôler le suivi de ces agréments et de ces autorisations délivrés aux opérateurs que ce soit au niveau des prestations de services et transports aériens ou des prestations de services de navigation aérienne comme c’est le cas pour l’ASECNA» a-t-il déclaré lors du Séminaire de sensibilisation sur la politique commune de sûreté de l’aviation civile au sein des Etats membres de l’UEMOA.
Sur la même lancée, il est revenu sur les motifs de la création de cette agence: «il s’agit pour nous de créer un cadre réglementaire et organisationnel et de référence à partir duquel les opérateurs tels que l’ASECNA pourront agir de façon sûre et reconnue par le monde international, par les standards internationaux». Ainsi l’organisme qui préfigure l’agence est basé à Ouagadougou en attendant l’organisme provisoire qui sera basé à Abidjan. Cependant «l’organisme définitif aura une base que les ministres chargés de l’aviation civile des Etats membres vont décider» a-t-il souligné.
Rafaël Marie Salambéré a fait savoir qu’il «s’agit de promouvoir la coopération entre les compagnies des Etats membres de l’UEMOA, aussi bien pour la mise en commun des vols, des instruments d’exploitation, des vols conjoints, des liens conjoints que l’harmonisation des horaires et des tarifs». Il s’agit aussi de «promouvoir la mise en place de structures communes en vue de renforcer les opérations au sol et l’expertise de la région» a soutenu l’expert en droit. Et d’éclairer: «je parle par là des centres de formation communs, de centres médicaux pour le personnel navigant et aussi de l’expertise en matière de sécurité et de sûreté de nos espaces. Donc tout cela fait partie de la politique et de la démarche de l’UEMOA».
Le directeur de cabinet du Ministre des infrastructures des transports terrestres et transports aériens, Thierno Mademba Gaye a estimé que «des mesures de renforcement de la sécurité et de la sûreté ont été prises au niveau de plusieurs Etats».
Rafaël Marie Salambéré a affirmé que «la sûreté est un domaine où l’évolution est très rapide donc, il s’agit malgré ces références de pouvoir aider nos Etats à s’adapter à l’évolution des hauts risques, des menaces et à l’évolution de l’environnement»
Sur la même lancée, il est revenu sur les motifs de la création de cette agence: «il s’agit pour nous de créer un cadre réglementaire et organisationnel et de référence à partir duquel les opérateurs tels que l’ASECNA pourront agir de façon sûre et reconnue par le monde international, par les standards internationaux». Ainsi l’organisme qui préfigure l’agence est basé à Ouagadougou en attendant l’organisme provisoire qui sera basé à Abidjan. Cependant «l’organisme définitif aura une base que les ministres chargés de l’aviation civile des Etats membres vont décider» a-t-il souligné.
Rafaël Marie Salambéré a fait savoir qu’il «s’agit de promouvoir la coopération entre les compagnies des Etats membres de l’UEMOA, aussi bien pour la mise en commun des vols, des instruments d’exploitation, des vols conjoints, des liens conjoints que l’harmonisation des horaires et des tarifs». Il s’agit aussi de «promouvoir la mise en place de structures communes en vue de renforcer les opérations au sol et l’expertise de la région» a soutenu l’expert en droit. Et d’éclairer: «je parle par là des centres de formation communs, de centres médicaux pour le personnel navigant et aussi de l’expertise en matière de sécurité et de sûreté de nos espaces. Donc tout cela fait partie de la politique et de la démarche de l’UEMOA».
Le directeur de cabinet du Ministre des infrastructures des transports terrestres et transports aériens, Thierno Mademba Gaye a estimé que «des mesures de renforcement de la sécurité et de la sûreté ont été prises au niveau de plusieurs Etats».
Rafaël Marie Salambéré a affirmé que «la sûreté est un domaine où l’évolution est très rapide donc, il s’agit malgré ces références de pouvoir aider nos Etats à s’adapter à l’évolution des hauts risques, des menaces et à l’évolution de l’environnement»
Autres articles
-
Accident de Koungheul : le bilan s'alourdit à 13 morts
-
Bilan de l'accident de Yamong sur la route de Koungheul : 9 morts et 51 blessés
-
Météo : Des rafales de vent annoncées sur tout le littoral sénégalais
-
Enseignement au nom de l’Eglise : L’Evêque de Thiès rend obligatoire la possession d’un mandat d’enseigner
-
Visite de prise de contact : Birame Diop insiste sur la nécessité de revisiter le concept armée-nation