En République démocratique du Congo (RDC), le gouvernement annonce son intention de lancer une évaluation du dernier processus électoral. Lors du dernier Conseil des ministres, le 16 août 2024, le ministre de l’Intérieur et vice-Premier ministre, Jacquemain Shabani a présenté une note pour aller dans ce sens.
L’enjeu pour le ministre, c’est d’améliorer le système électoral en vue du prochain cycle qui doit se dérouler en 2028.
Jacquemain Shabani poursuit : « Mais le gouvernement de la République a estimé qu'il était aussi important qu'à son niveau, une réflexion soit faite. Nous allons nous baser sur les différentes expertises dont regorge la République démocratique du Congo, sur les différents rapports des observateurs, de tous ceux qui ont eu à jouer un certain rôle au cours de ces élections. »
Le ministre de l’Intérieur détaille : « Le groupe de travail sera un groupe d'experts. La République démocratique du Congo a l'avantage d'avoir, ici, à Kinshasa, l'École électorale de l'Afrique centrale. C'est déjà une très grande expertise en matière électorale, et dans les universités aussi, des professeurs d'université experts dans le domaine qui seront le socle de ce groupe de travail. »
L’enjeu pour le ministre, c’est d’améliorer le système électoral en vue du prochain cycle qui doit se dérouler en 2028.
« Nous allons nous baser sur les différentes expertises dont regorge la RDC »
« Je crois que tout le monde se rappelle que c'est au lendemain du dialogue inter-congolais que la dynamique actuelle a été mise en place avec principalement une Commission électorale indépendante, souligne-t-il au micro de Paulina Zidi, en référence à la Céni. Donc, ça fait aujourd'hui près d'une vingtaine d'années que nous sommes dans une expérience. C'est vrai que la Céni elle-même est censée déposer son rapport au Parlement qui va aussi évaluer à sa manière ».Jacquemain Shabani poursuit : « Mais le gouvernement de la République a estimé qu'il était aussi important qu'à son niveau, une réflexion soit faite. Nous allons nous baser sur les différentes expertises dont regorge la République démocratique du Congo, sur les différents rapports des observateurs, de tous ceux qui ont eu à jouer un certain rôle au cours de ces élections. »
Le ministre de l’Intérieur détaille : « Le groupe de travail sera un groupe d'experts. La République démocratique du Congo a l'avantage d'avoir, ici, à Kinshasa, l'École électorale de l'Afrique centrale. C'est déjà une très grande expertise en matière électorale, et dans les universités aussi, des professeurs d'université experts dans le domaine qui seront le socle de ce groupe de travail. »
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