Outre le Mali, sujet important du sommet de la Cédéao, la Guinée a aussi été au cœur des débats à Abuja. Les neuf chefs d'États réunis dans la capitale nigériane ont gardé leur cap à propos de la situation guinéenne. Jean-Claude Kassi Brou, le président de la Cédéao dont le mandat a été proprogé de quelques mois, s'est exprimé au micro de notre envoyé spécial à Abuja, Serge Daniel.
L'homme politique ivoirien a d'abord eu quelques mots à propos d'Alpha Condé, renversé le 5 septembre et transféré à la résidence de son épouse, le 29 novembre, après avoir été gardé par des militaires pendant presque trois mois. « Le sommet s'est félicité que l'ancien président de la République, Alpha Condé, ait été libéré. C'est un point que les chefs d'États et de gouvernements ont salué », a confié Jean-Claude Kassi Brou.
Toutefois, la Cédéao ne cède rien quant à ses exigences démocratiques. « On attend toujours un chronogramme pour la préparation des élections dans le cadre des six mois qui ont été accordés par le sommet », a rappelé son présidence. Les chefs d'États de l'organisation « souhaitent que le processus soit accéléré ». Et ainsi, ils ont « décidé de maintenir, pour le moment, les sanctions politiques de suspension et les sanctions ciblées ».
L'homme politique ivoirien a d'abord eu quelques mots à propos d'Alpha Condé, renversé le 5 septembre et transféré à la résidence de son épouse, le 29 novembre, après avoir été gardé par des militaires pendant presque trois mois. « Le sommet s'est félicité que l'ancien président de la République, Alpha Condé, ait été libéré. C'est un point que les chefs d'États et de gouvernements ont salué », a confié Jean-Claude Kassi Brou.
Toutefois, la Cédéao ne cède rien quant à ses exigences démocratiques. « On attend toujours un chronogramme pour la préparation des élections dans le cadre des six mois qui ont été accordés par le sommet », a rappelé son présidence. Les chefs d'États de l'organisation « souhaitent que le processus soit accéléré ». Et ainsi, ils ont « décidé de maintenir, pour le moment, les sanctions politiques de suspension et les sanctions ciblées ».
Autres articles
-
Mali: Human Rights Watch dénonce les «atrocités» de l'armée et de Wagner contre les civils
-
Syrie: au moins 36 soldats syriens tués dans une frappe israélienne près d'Alep (ONG)
-
Haïti: 243 personnes évacuées vers la Martinique, dont une majorité de Français
-
Guerre au Soudan: les États-Unis tentent de relancer les pourparlers de paix
-
Élections en Afrique du Sud: pourquoi l’ANC s'attaque au nom du parti de l’ex-président Jacob Zuma