Alertés par l’odeur pestilentielle ambiante qui se dégageait d'un pot, des élèves d'un établissement scolaire de la banlieue n'ont pas pu résister à la tentation de satisfaire leur curiosité. Mais leur découverte fut épouvantable.
D’après « Les Échos », les potaches y ont découvert un pot contenant un fœtus et un placenta, aux abords immédiats du Centre national hospitalier de Pikine.
La même source renseigne que « le nom d’une certaine Bineta Th. était inscrit sur le pot en question ». Des propos confirmés par les blouses blanches qui soulignent que quand une femme est opérée à l’hôpital suite à une grossesse extra-utérine, il lui est remis le pot en question, aux fins d’aller le déposer au laboratoire pour des analyses en vue de déterminer les causes de l’accouchement précoces. Ce qui porte à croire que la femme est la présumée principale auteure de l’abandon du pot.
D’après « Les Échos », les potaches y ont découvert un pot contenant un fœtus et un placenta, aux abords immédiats du Centre national hospitalier de Pikine.
La même source renseigne que « le nom d’une certaine Bineta Th. était inscrit sur le pot en question ». Des propos confirmés par les blouses blanches qui soulignent que quand une femme est opérée à l’hôpital suite à une grossesse extra-utérine, il lui est remis le pot en question, aux fins d’aller le déposer au laboratoire pour des analyses en vue de déterminer les causes de l’accouchement précoces. Ce qui porte à croire que la femme est la présumée principale auteure de l’abandon du pot.