L’Amérique est de retour, la diplomatie est de retour, les slogans de Joe Biden étaient exactement ce que voulaient entendre les 29 autres chefs d’État et de gouvernement de l’Otan, rapporte notre correspondant à Bruxelles, Pierre Benazet. Ils se sont employés à donner des gages au président des États-Unis et dans leur déclaration finale ils ont en quelque sorte ajouté la Chine à la Russie comme adversaire de l’Otan.
« Les ambitions déclarées de la Chine et son comportement affirmé représentent des défis systémiques pour l'ordre international fondé sur des règles et dans des domaines revêtant de l'importance pour la sécurité de l'Alliance », ont-ils affirmé dans les conclusions adoptées à l'issue du sommet, se disant « préoccupés » par les « politiques coercitives » de Pékin.
Néanmoins, les dirigeants de l'Otan ne sont pas allé aussi loin que le souhaitaient les États-Unis. Les britanniques mais aussi les Allemands et la France ne veulent pas se laisser embarquer dans ce qu'ils jugent être une forme de guerre froide.
« Les ambitions déclarées de la Chine et son comportement affirmé représentent des défis systémiques pour l'ordre international fondé sur des règles et dans des domaines revêtant de l'importance pour la sécurité de l'Alliance », ont-ils affirmé dans les conclusions adoptées à l'issue du sommet, se disant « préoccupés » par les « politiques coercitives » de Pékin.
Néanmoins, les dirigeants de l'Otan ne sont pas allé aussi loin que le souhaitaient les États-Unis. Les britanniques mais aussi les Allemands et la France ne veulent pas se laisser embarquer dans ce qu'ils jugent être une forme de guerre froide.
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