
Le Tribunal de Première Instance de Première Classe de Cotonou a condamné l'homme d'affaires sénégalo-ivoirien Yérim Sow à 5 ans de prison dont deux fermes en 2021 pour escroquerie, surévaluation frauduleuse d’apports en nature et non-remise d’états financiers. Selon le site du ministère béninois de la Justice, le sieur Sow figure parmi les personnes les plus recherchées au Bénin, faisant l'objet d'un mandat d'arrêt.
Les autorités béninoises reprochent au groupe Teyliom, dirigé par Yérim Sow, des retards importants dans l'exécution d'un projet, le non-paiement des redevances annuelles (seul un paiement ayant été effectué), ainsi que la cession d’un bail à une autre entité sans autorisation préalable. En février 2020, l'État béninois a résilié le bail, expulsé Teyliom du site et démoli l’hôtel, achevé à près de 90 %.
En réponse à cette expropriation et à la démolition de son projet, le sénégalais a entamé des procédures d’arbitrage international pour contester ces décisions. Selon le site Financial Afrik, le Groupe Teyliom a porté l’affaire devant le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI) à Washington et devant la Cour commune de justice et d’arbitrage de l’Ohada (CCJA-Ohada) à Abidjan, dans le but de réclamer une indemnisation pour le préjudice subi.
Les autorités béninoises reprochent au groupe Teyliom, dirigé par Yérim Sow, des retards importants dans l'exécution d'un projet, le non-paiement des redevances annuelles (seul un paiement ayant été effectué), ainsi que la cession d’un bail à une autre entité sans autorisation préalable. En février 2020, l'État béninois a résilié le bail, expulsé Teyliom du site et démoli l’hôtel, achevé à près de 90 %.
En réponse à cette expropriation et à la démolition de son projet, le sénégalais a entamé des procédures d’arbitrage international pour contester ces décisions. Selon le site Financial Afrik, le Groupe Teyliom a porté l’affaire devant le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI) à Washington et devant la Cour commune de justice et d’arbitrage de l’Ohada (CCJA-Ohada) à Abidjan, dans le but de réclamer une indemnisation pour le préjudice subi.
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