
Bakou avait annoncé son opération après s'être plaint que six de ses citoyens avaient été tués par des mines terrestres, lors de deux incidents distincts imputés à des « groupes armés arméniens illégaux ». L'Arménie, de son côté, dit ne pas avoir de personnel militaire dans le Karabakh et que ses priorités sont purement humanitaires.
Pour l'Azerbaïdjan, il n'y a pas de paix possible sans retrait arménien : « Le seul moyen de parvenir à la paix et à la stabilité dans la région est le retrait inconditionnel et total des forces armées arméniennes de la région azerbaïdjanaise du Karabakh et la dissolution du prétendu régime » séparatiste, a indiqué la diplomatie azerbaïdjanaise dans un communiqué.
Opération en cours
Les forces séparatistes du Karabakh disent « résister » aux forces azerbaïdjanaises. Ruben Vardanyan, banquier milliardaire et haut responsable de l'administration arménienne du Karabakh a dénoncé l'attaque sur X (ex-Twitter). « L'Azerbaïdjan a lancé une attaque d'artillerie massive contre le Haut-Karabakh, visant les villes et les civils à grande échelle , a-t-il écrit.
« L'Azerbaïdjan a déclenché une nouvelle agression à grande échelle contre le peuple du Nagorny Karabakh, cherchant ainsi à parachever sa politique de nettoyage ethnique », a affirmé le ministère arménien des Affaires étrangères qui en appelle aux « forces de paix russes » pour stopper l'agression azerbaïdjanaise. Le Premier ministre arménien Nikol Pachinian a convoqué son Conseil de sécurité. Dans une intervention télévisée, il a accusé l'Azerbaïdjan d'« entraîner l'Arménie dans les hostilités », assurant que l'armée arménienne n'était pas engagée dans les combats.
La Russie appelle à «mettre fin à l'effusion de sang»
La Russie, qui dit avoir été prévenue uniquement « quelques minutes » avant le début des « opérations antiterroristes », a appelé l'Azerbaïdjan et l'Arménie à « mettre fin à l'effusion de sang » au Haut -Karabakh et à retourner à « un règlement pacifique » dans cette enclave disputée depuis plusieurs décennies. « Toutes les étapes d'une solution pacifique sont énoncées dans les accords signés en 2020 et 2022 », a ajouté la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova.
La France a condamné « avec la plus grande fermeté » le lancement par l'Azerbaïdjan de cette opération militaire et demandé « la convocation d'urgence d'une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies ».
Pour l'Azerbaïdjan, il n'y a pas de paix possible sans retrait arménien : « Le seul moyen de parvenir à la paix et à la stabilité dans la région est le retrait inconditionnel et total des forces armées arméniennes de la région azerbaïdjanaise du Karabakh et la dissolution du prétendu régime » séparatiste, a indiqué la diplomatie azerbaïdjanaise dans un communiqué.
Opération en cours
Les forces séparatistes du Karabakh disent « résister » aux forces azerbaïdjanaises. Ruben Vardanyan, banquier milliardaire et haut responsable de l'administration arménienne du Karabakh a dénoncé l'attaque sur X (ex-Twitter). « L'Azerbaïdjan a lancé une attaque d'artillerie massive contre le Haut-Karabakh, visant les villes et les civils à grande échelle , a-t-il écrit.
« L'Azerbaïdjan a déclenché une nouvelle agression à grande échelle contre le peuple du Nagorny Karabakh, cherchant ainsi à parachever sa politique de nettoyage ethnique », a affirmé le ministère arménien des Affaires étrangères qui en appelle aux « forces de paix russes » pour stopper l'agression azerbaïdjanaise. Le Premier ministre arménien Nikol Pachinian a convoqué son Conseil de sécurité. Dans une intervention télévisée, il a accusé l'Azerbaïdjan d'« entraîner l'Arménie dans les hostilités », assurant que l'armée arménienne n'était pas engagée dans les combats.
La Russie appelle à «mettre fin à l'effusion de sang»
La Russie, qui dit avoir été prévenue uniquement « quelques minutes » avant le début des « opérations antiterroristes », a appelé l'Azerbaïdjan et l'Arménie à « mettre fin à l'effusion de sang » au Haut -Karabakh et à retourner à « un règlement pacifique » dans cette enclave disputée depuis plusieurs décennies. « Toutes les étapes d'une solution pacifique sont énoncées dans les accords signés en 2020 et 2022 », a ajouté la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova.
La France a condamné « avec la plus grande fermeté » le lancement par l'Azerbaïdjan de cette opération militaire et demandé « la convocation d'urgence d'une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies ».
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