18 jeunes de Cayar ont été interpellés mercredi, suite aux actes de vandalisme perpétrés contre les pirogues et les filets des pécheurs de Mboro et de Guet-Ndar. Ce, en plus d’avoir saccagé maladroitement certaines de leurs concessions. Ces actes viennent après les attaques subies dimanche dernier par des pêcheurs de Cayar.
A Mboro, les pêcheurs ont effectué une sortie pour démentir les propos tenus par leurs collègues de Cayar. Le porte-parole du jour pense que l’État doit prendre des mesures urgentes et procéder à la délimitation
des frontières entre Mboro et Cayar.
« Comment une pirogue de petite taille, avec à bord seulement trois individus, peut-elle se permettre de s’attaquer à une grande embarcation d’une grande quantité avec environ quelques 25 gens à bord ? Ça n’a pas de sens. Ce jour-là, les pêcheurs de Cayar se sont déplacés jusque dans les eaux de Mboro avec comme seul but, se bagarrer. En pleine mer, ils ont heurté les petites pirogues de trois à quatre personnes avec une perte en vie humaine. Et jusqu’à présent, le corps sans vie de Lamine Niang n’a pas été retrouvé », se dédouane Ahmed Diop dans les colonnes du journal Le Témoin.
Ces derniers lancent un appel au chef de l’État qui est le seul à même d’apporter une solution à cette crise et ramener la paix dans la zone par la délimitation des frontières entre les deux parties.
A Mboro, les pêcheurs ont effectué une sortie pour démentir les propos tenus par leurs collègues de Cayar. Le porte-parole du jour pense que l’État doit prendre des mesures urgentes et procéder à la délimitation
des frontières entre Mboro et Cayar.
« Comment une pirogue de petite taille, avec à bord seulement trois individus, peut-elle se permettre de s’attaquer à une grande embarcation d’une grande quantité avec environ quelques 25 gens à bord ? Ça n’a pas de sens. Ce jour-là, les pêcheurs de Cayar se sont déplacés jusque dans les eaux de Mboro avec comme seul but, se bagarrer. En pleine mer, ils ont heurté les petites pirogues de trois à quatre personnes avec une perte en vie humaine. Et jusqu’à présent, le corps sans vie de Lamine Niang n’a pas été retrouvé », se dédouane Ahmed Diop dans les colonnes du journal Le Témoin.
Ces derniers lancent un appel au chef de l’État qui est le seul à même d’apporter une solution à cette crise et ramener la paix dans la zone par la délimitation des frontières entre les deux parties.
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