La 10ème rencontre bilatérale entre les administrations des douanes sénégalaises et gambiennes s’est tenue à Dakar du 24 au 26 juillet.
L’objectif de ces deux institutions est de renforcer la coopération douanière entre les deux pays.
« Les travaux de cette rencontre bilatérale ont porté sur la promotion du commerce transfrontalier, le renforcement de la coopération sécuritaire et le partage des bonnes pratiques » rapporte l’APS.
Les soldats de l’économie des deux nations veulent « lever les obstacles aux opérations de transport des marchandises entre les deux pays ».
Venu représenter le ministre sénégalais de l’économie Cheikh Diba lors de la cérémonie d’ouverture, Bassirou Sarr juge nécessaire de « consolider notre coopération douanière pour surmonter les défis communs et exploiter pleinement les opportunités que nous offre l’intégration régionale ».
« Les réalisations en termes de mobilisation des recettes et de lutte contre les trafics illicites placent l’administration des douanes sénégalaises dans la station des administrations de référence » s’est félicité M. Sarr.
Cette rencontre a également été mise à profit pour jeter de nouvelles bases et définir de nouveaux axes stratégiques de coopération douanière entre le Sénégal et la Gambie.
A l’en croire le directeur général des douanes sénégalaises, Mbaye Ndiaye « le Sénégal et la Gambie se sont engagés à exploiter pleinement leur proximité géographique et leur complémentarité économique ».
Il a demandé aux experts de ”revisiter” les procédures habituelles conformément aux engagements pris dans le cadre de la CEDEAO, de l’Organisation mondiale des Douanes ou de l’Organisation mondiale du commerce.
Le directeur général des Douanes a souligné que « l’intelligence artificielle offre des possibilités accrues aux administrations de la frontière, en termes d’outils de contrôle et de supports technologiques aidant à la maitrise des flux commerciaux ».
En ce qui concerne le risque d’activités criminelles, selon le patron de la douane, les deux pays « ont besoin d’une réponse forte et coordonnée pour jouer véritablement le rôle de vigie et concourir aux côtés des autres forces publiques à la sécurisation de nos frontières ».
L’objectif de ces deux institutions est de renforcer la coopération douanière entre les deux pays.
« Les travaux de cette rencontre bilatérale ont porté sur la promotion du commerce transfrontalier, le renforcement de la coopération sécuritaire et le partage des bonnes pratiques » rapporte l’APS.
Les soldats de l’économie des deux nations veulent « lever les obstacles aux opérations de transport des marchandises entre les deux pays ».
Venu représenter le ministre sénégalais de l’économie Cheikh Diba lors de la cérémonie d’ouverture, Bassirou Sarr juge nécessaire de « consolider notre coopération douanière pour surmonter les défis communs et exploiter pleinement les opportunités que nous offre l’intégration régionale ».
« Les réalisations en termes de mobilisation des recettes et de lutte contre les trafics illicites placent l’administration des douanes sénégalaises dans la station des administrations de référence » s’est félicité M. Sarr.
Cette rencontre a également été mise à profit pour jeter de nouvelles bases et définir de nouveaux axes stratégiques de coopération douanière entre le Sénégal et la Gambie.
A l’en croire le directeur général des douanes sénégalaises, Mbaye Ndiaye « le Sénégal et la Gambie se sont engagés à exploiter pleinement leur proximité géographique et leur complémentarité économique ».
Il a demandé aux experts de ”revisiter” les procédures habituelles conformément aux engagements pris dans le cadre de la CEDEAO, de l’Organisation mondiale des Douanes ou de l’Organisation mondiale du commerce.
Le directeur général des Douanes a souligné que « l’intelligence artificielle offre des possibilités accrues aux administrations de la frontière, en termes d’outils de contrôle et de supports technologiques aidant à la maitrise des flux commerciaux ».
En ce qui concerne le risque d’activités criminelles, selon le patron de la douane, les deux pays « ont besoin d’une réponse forte et coordonnée pour jouer véritablement le rôle de vigie et concourir aux côtés des autres forces publiques à la sécurisation de nos frontières ».
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