Cette escalade fait suite à une marche organisée le jeudi 13 novembre, au cours de laquelle le G7 avait déjà dénoncé « le silence assourdissant et le laxisme des nouvelles autorités » face au non-respect des accords signés en 2022.
Parmi les principales revendications portées par le G7 figurent : la révision du statut des décisionnaires; le relèvement des pensions de retraite et l'accès aux imputations budgétaires; la fin des surimpositions sur les rappels de salaire des enseignants; le parachèvement de la Formation Diplômante Universelle (FDU); la mise à disposition effective des parcelles à usage d'habitation promises aux syndicats d'enseignants.
Ce mouvement de protestation marque une intensification de la pression syndicale pour obtenir la concrétisation des engagements pris par le gouvernement.


Editorial



