La volonté du gouvernement de réorienter les nouveaux bacheliers non-orientés dans les Universités publiques dans l’enseignement privé est une mauvaise option pour le Syndicat Autonome des Enseignants du Supérieur (SAES). Il invite plutôt l’Etat à mettre cinq (5) ou sept (7) milliards de francs dans le public au lieu d’enrichir des promoteurs privés.
En effet, dans une lettre adressée aux Sénégalais, le SAES indique que ces titulaires du premier grade de l’université «ont droit à une égalité des chances d’accès à l’enseignement supérieur, à un projet pédagogique viable porté par un corps professoral de qualité académique».
Mieux, les enseignants proposant une solution alternative, demandent la réquisition des salles disponibles dans les villes et utilisables immédiatement telles que CICES, Grand Théâtre, Place du Souvenir,… pour abriter les formations publiques et respecter le point d’accord relatif au recrutement d’enseignants à partir de conversion des heures complémentaires.
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