Les travaux de la deuxième journée du dimanche 24 avril ont été consacrés à la compilation des cahiers des charges de chaque groupe armé. Chacun de leur représentant a pris la parole pour expliquer les raisons qui les ont poussés à prendre les armes.
Selon Giscard Kusema, directeur adjoint de la communication présidentielle congolaise et l'un des experts participant aux consultations à Nairobi, les raisons exposées n'étaient pas politiques : « Ces revendications sont plutôt d’ordre identitaire et d’autodéfense, tous se disent prêts à faire avancer le processus voulu par le président de la République, Félix Tshisekedi Tshilombo, qu’ils reconnaissent comme leur président. »
L’option militaire pour les « réfractaires »
À l'issue de ces discussions, deux issues sont envisagées par les autorités congolaises. La première voie est diplomatique : « Il s’agit ici de la reddition inconditionnelle. Ils doivent déposer les armes, et tous les groupes armés, y compris le M23, doivent s’aligner. »
Si cette issue diplomatique échoue, l'option militaire sera enclenchée : « L’option militaire reste sur le terrain, et c’est une option qui va s’appliquer à tous les groupes armés qui seront réfractaires. »
Les grands absents de ces discussions sont les représentants du M23. Ils étaient présents la première journée mais la délégation congolaise a exigé et obtenu leur expulsion après la nouvelle de la reprise des combats entre le M23 et les FARDC dans le Rutshuru samedi en milieu d'après-midi.
Dans un communiqué officiel, le M23 accuse les forces militaires congolaises de les avoir attaqué. Selon eux, ils n'ont fait que réagir aux provocations des FARDC. Suite des négociations demain à Nairobi.
Selon Giscard Kusema, directeur adjoint de la communication présidentielle congolaise et l'un des experts participant aux consultations à Nairobi, les raisons exposées n'étaient pas politiques : « Ces revendications sont plutôt d’ordre identitaire et d’autodéfense, tous se disent prêts à faire avancer le processus voulu par le président de la République, Félix Tshisekedi Tshilombo, qu’ils reconnaissent comme leur président. »
L’option militaire pour les « réfractaires »
À l'issue de ces discussions, deux issues sont envisagées par les autorités congolaises. La première voie est diplomatique : « Il s’agit ici de la reddition inconditionnelle. Ils doivent déposer les armes, et tous les groupes armés, y compris le M23, doivent s’aligner. »
Si cette issue diplomatique échoue, l'option militaire sera enclenchée : « L’option militaire reste sur le terrain, et c’est une option qui va s’appliquer à tous les groupes armés qui seront réfractaires. »
Les grands absents de ces discussions sont les représentants du M23. Ils étaient présents la première journée mais la délégation congolaise a exigé et obtenu leur expulsion après la nouvelle de la reprise des combats entre le M23 et les FARDC dans le Rutshuru samedi en milieu d'après-midi.
Dans un communiqué officiel, le M23 accuse les forces militaires congolaises de les avoir attaqué. Selon eux, ils n'ont fait que réagir aux provocations des FARDC. Suite des négociations demain à Nairobi.
Autres articles
-
Cameroun: mouvement de grève des camionneurs dans l’Adamaoua
-
Soudan: des dizaines de civils tués dans une attaque de drones à Kalogi, une école et un hôpital pris pour cible
-
Tentative de coup d’État au Bénin: deux hauts gradés retenus par les mutins libérés, retour au calme à Cotonou
-
Tentative de coup d’Etat au Bénin : la CEDEAO "soutiendra le déploiement de la force régionale en attente"
-
Cameroun: les déclarations de Paul Atanga Nji après la mort d'Anicet Ekane font polémique





Cameroun: mouvement de grève des camionneurs dans l’Adamaoua


