L'affaire a d'abord fait du bruit sur les réseaux sociaux. Une série de photos où l'on voit des militaires congolais dans l'enceinte de la base de l'ONU tentaient de tirer un individu, se le disputant avec du personnel onusien. Pour la Monusco, le plus grave, c'est que l'opération a été menée sous les ordres directs du général Assumani, commandant des opérations dans la région Kasaï. Son nom est même cité dans le communiqué.
Pour Lambert Mendé, porte-parole du gouvernement, c'est faux : « Il n’y a pas eu intrusion de militaires à la base de la Monusco. La justice militaire était à la poursuite d’un individu présumé coupable de Constitution d’un nouveau groupe armé. Cet individu s’est réfugié dans la base de la Monusco. Maintenant, le dossier est entre les mains de notre diplomatie parce que la Monusco ne peut pas devenir un refuge ».
Le présumé leader d'un groupe armé en gestation n'est autre que le directeur de la radio Kasaï Horizons, Edouard Diyi Tshitenge, tout juste revenu de Paris où il avait assisté à la signature du Manifeste du citoyen congolais et dont il comptait faire un compte-rendu public. Réunion interdite et dispersée. Pour l'ONU, « les tracasseries et menaces dont font l'objet de plus en plus de journalistes ne vont pas dans le sens de la décrispation attendue ».
Pour Lambert Mendé, porte-parole du gouvernement, c'est faux : « Il n’y a pas eu intrusion de militaires à la base de la Monusco. La justice militaire était à la poursuite d’un individu présumé coupable de Constitution d’un nouveau groupe armé. Cet individu s’est réfugié dans la base de la Monusco. Maintenant, le dossier est entre les mains de notre diplomatie parce que la Monusco ne peut pas devenir un refuge ».
Le présumé leader d'un groupe armé en gestation n'est autre que le directeur de la radio Kasaï Horizons, Edouard Diyi Tshitenge, tout juste revenu de Paris où il avait assisté à la signature du Manifeste du citoyen congolais et dont il comptait faire un compte-rendu public. Réunion interdite et dispersée. Pour l'ONU, « les tracasseries et menaces dont font l'objet de plus en plus de journalistes ne vont pas dans le sens de la décrispation attendue ».
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