
Visite du chef de l’Etat, opérations militaires, dialogue inter communautaire… malgré tous ces efforts, le feu couve encore en Ituri, ont fait savoir ces sénateurs et députés nationaux.
Selon eux, la CODECO, le seul groupe qui a refusé de déposer les armes, continue d’endeuiller toute la région. « Malgré qu’on a tué leur leader Ngudjolo, malgré qu’on a arrêté deux têtes pensantes, les auteurs intellectuels se sont maintenant réorganisés comme pour se venger, nous explique le sénateur Alphonse Ukeci Rundi. Alors, ils tuent de très mauvaise manière. Ils sont même à la porte de Bunia. Dimanche 13 avril, ils ont attaqué un poste de police. Ils ont tué quatre éléments des forces de sécurité ».
Ces parlementaires de l’Ituri alertent également sur la présence, dans la région, d’un nouveau groupe armé. « Il y a un groupe armé actif dénommé Tshini ya kilima, dont le mode opératoire est similaire à celui de Codeco, qui opère dans le territoire d’Irumu… »
Pour le caucus des parlementaires de l’Ituri, le gouvernement devrait tout faire pour éviter le pire. « Maintenant... on voit de jeunes gens avec des bâtons à la main en train de courir, en train de chanter. Je crois que quelque chose peut se produire, si on ne fait pas attention », poursuit Alphone Ukeci Rundi.
Aussi, les signataires de la déclaration demandent à la Monusco de s’impliquer à fond dans la protection des populations et d’appuyer l’armée gouvernementale.
Visite du chef de l’Etat, opérations militaires, dialogue inter communautaire… malgré tous ces efforts, le feu couve encore en Ituri, ont fait savoir ces sénateurs et députés nationaux.
Selon eux, la CODECO, le seul groupe qui a refusé de déposer les armes, continue d’endeuiller toute la région. « Malgré qu’on a tué leur leader Ngudjolo, malgré qu’on a arrêté deux têtes pensantes, les auteurs intellectuels se sont maintenant réorganisés comme pour se venger, nous explique le sénateur Alphonse Ukeci Rundi. Alors, ils tuent de très mauvaise manière. Ils sont même à la porte de Bunia. Dimanche 13 avril, ils ont attaqué un poste de police. Ils ont tué quatre éléments des forces de sécurité ».
Ces parlementaires de l’Ituri alertent également sur la présence, dans la région, d’un nouveau groupe armé. « Il y a un groupe armé actif dénommé Tshini ya kilima, dont le mode opératoire est similaire à celui de Codeco, qui opère dans le territoire d’Irumu… »
Pour le caucus des parlementaires de l’Ituri, le gouvernement devrait tout faire pour éviter le pire. « Maintenant... on voit de jeunes gens avec des bâtons à la main en train de courir, en train de chanter. Je crois que quelque chose peut se produire, si on ne fait pas attention », poursuit Alphone Ukeci Rundi.
Aussi, les signataires de la déclaration demandent à la Monusco de s’impliquer à fond dans la protection des populations et d’appuyer l’armée gouvernementale.
Autres articles
-
Présidentielle en Centrafrique: Faustin-Archange Touadéra officiellement candidat à un troisième mandat
-
Kenya: l'opposant ougandais Kizza Besigye porte plainte devant la Haute Cour pour «arrestation illégale»
-
Burkina Faso: l'avocat et homme politique Hermann Yaméogo a été «enlevé», affirment ses proches
-
Présidentielle au Cameroun: la candidature de l'opposant Maurice Kamto invalidée par l'Élécam
-
Gambie: les biens de l’ex-dictateur Yahya Jammeh bradés, les victimes toujours sans réparation