Les rebelles hutus rwandais reconnaissent que deux de leurs cadres ont été tués, au cours d'une opération militaire. Le premier est bien Sylvestre Mudacumura, et le deuxième est Sixbert Ndayambaje, le directeur de cabinet du président par intérim des FDLR, Victor Byiringiro, qui signe le communiqué.
Les FDLR admettent également que les deux hommes se trouvaient ensemble pour une réunion, sans en préciser l'objet. Selon nos informations, ils étaient réunis depuis la veille pour parler de la réorganisation du mouvement après la mort en avril d'Ignace Murwanashyaka, leur chef politique. Ce dont l'armée congolaise a eu vent et qui lui a permis de surprendre les deux hommes au domicile de Sylvestre Mudacumura.
Mais ce que les rebelles hutus rwandais contestent, c'est que les corps soient restés aux mains de l'armée congolaise. Ils affirment les avoir récupérés lors d'une contre-attaque et d’avoir aussi infligé de lourdes pertes au commando engagé dans cette opération. Ils parlent d'une vingtaine de militaires tués dont le colonel Muhire et d'une quinzaine de blessés dans les rangs de l'armée. Et selon ce communiqué, ce sont ces blessés qui auraient évoqué la présence d'éléments de l'armée rwandaise dans leurs rangs.
Cette version est démentie par les FARDC qui assurent n'avoir enregistré aucune perte, n'avoir reçu aucun soutien étranger, mais ils admettent qu'au vu de la géographie, ils n'ont pas été en mesure de conserver les corps de leurs ennemis. Le président Félix Tshisekedi avait lui-même démenti toute intervention de l'armée rwandaise dans cette opération.
Les FDLR admettent également que les deux hommes se trouvaient ensemble pour une réunion, sans en préciser l'objet. Selon nos informations, ils étaient réunis depuis la veille pour parler de la réorganisation du mouvement après la mort en avril d'Ignace Murwanashyaka, leur chef politique. Ce dont l'armée congolaise a eu vent et qui lui a permis de surprendre les deux hommes au domicile de Sylvestre Mudacumura.
Mais ce que les rebelles hutus rwandais contestent, c'est que les corps soient restés aux mains de l'armée congolaise. Ils affirment les avoir récupérés lors d'une contre-attaque et d’avoir aussi infligé de lourdes pertes au commando engagé dans cette opération. Ils parlent d'une vingtaine de militaires tués dont le colonel Muhire et d'une quinzaine de blessés dans les rangs de l'armée. Et selon ce communiqué, ce sont ces blessés qui auraient évoqué la présence d'éléments de l'armée rwandaise dans leurs rangs.
Cette version est démentie par les FARDC qui assurent n'avoir enregistré aucune perte, n'avoir reçu aucun soutien étranger, mais ils admettent qu'au vu de la géographie, ils n'ont pas été en mesure de conserver les corps de leurs ennemis. Le président Félix Tshisekedi avait lui-même démenti toute intervention de l'armée rwandaise dans cette opération.
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