Le journaliste et rédacteur en chef de PressAfrik.com, Ayoba Faye, a apporté des précisions sur la situation qui prévaut actuellement en Guinée-Bissau. Invité de l'émission Midikeng sur PressAfrikTVHD, M.Faye a, d'emblée , souligné que les informations qui sont véhiculées "sont fausses". A l'en croire, "un crime financier" est à l'origine du prétendu "tentative du coup d'Etat" qui s'est soldé par la dissolution du parlement hier lundi, par le Président Umaro Sissoco Embalo.
"Embalo est dans les dispositions de violer l’Etat de droit pour dissoudre le Parlement qui est actuellement entre les mains de l’opposition et mettre son chef en prison", a-t-il révélé.
Selon ses sources au fait du dossier," il ne s’agit pas d’un détournement, mais d’une procédure régulière de paiement de la Dette intérieure du pays à des privés après l’installation du nouveau gouvernement dirigé par l’opposition suite à sa victoire aux dernières Législatives".
Ayoba Faye de rappeler que : "Le gouvernement Pro-Embalo sortant avait payé 9 des 15 milliards que représente la Dette intérieure. Des entreprises jugées Pro-Opposition s’étaient senties lésées par cette procédure de paiement qui aurait plutôt profité à des sociétés Pro-Embalo. Ce que le nouveau gouvernement a jugé nécessaire de corriger".
M. Faye qui dit mener des enquêtes sur cette affaire, a renseigné que : "des responsables du camp d’Embalo parle d’argent payé à des entreprises fictives… pour justifier ce qu’ils appellent un détournement. Pire, l’actuel président et ses hommes accusent le chef de l’opposition d’avoir voulu se servir de cet argent pour faire un coup d’Etat".
Le rédacteur en chef de PressAfrik.com de conclure de laissant entendre que le président Umaro Sissoco Embalo a fait "un coup d'Etat institutionnel". Non sans déplorer le mutisme des organisations et des Etats membres de la CEDEDAO.
"Embalo est dans les dispositions de violer l’Etat de droit pour dissoudre le Parlement qui est actuellement entre les mains de l’opposition et mettre son chef en prison", a-t-il révélé.
Selon ses sources au fait du dossier," il ne s’agit pas d’un détournement, mais d’une procédure régulière de paiement de la Dette intérieure du pays à des privés après l’installation du nouveau gouvernement dirigé par l’opposition suite à sa victoire aux dernières Législatives".
Ayoba Faye de rappeler que : "Le gouvernement Pro-Embalo sortant avait payé 9 des 15 milliards que représente la Dette intérieure. Des entreprises jugées Pro-Opposition s’étaient senties lésées par cette procédure de paiement qui aurait plutôt profité à des sociétés Pro-Embalo. Ce que le nouveau gouvernement a jugé nécessaire de corriger".
M. Faye qui dit mener des enquêtes sur cette affaire, a renseigné que : "des responsables du camp d’Embalo parle d’argent payé à des entreprises fictives… pour justifier ce qu’ils appellent un détournement. Pire, l’actuel président et ses hommes accusent le chef de l’opposition d’avoir voulu se servir de cet argent pour faire un coup d’Etat".
Le rédacteur en chef de PressAfrik.com de conclure de laissant entendre que le président Umaro Sissoco Embalo a fait "un coup d'Etat institutionnel". Non sans déplorer le mutisme des organisations et des Etats membres de la CEDEDAO.
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