Elève en Terminale la jeune MB. N. n’a pas pu se présenter au Bac cette année à cause d’une grossesse dont l’auteur n’est qu’un charlatan qu’on avait hébergé dans sa famille puisqu’étant un ami de son oncle. Les faits se sont déroulés au mois de mai dernier. La fille qui se plaignait de maux de tête s’est néanmoins recueillie dans sa chambre pour réviser malgré ses douleurs et c’est le moment qu’aurait choisi le charlatan pour proposer à la fille des médicaments et s’est ainsi qu’il lui a donné du lait mélangé à une poudre avant d’abuser d’elle après que la malheureuse fille se soit endormie sous l’effet du breuvage.
A son réveil la fille découvre ses habits tachetés et décide de ne rien dire à ses parents. C’est après deux mois, après avoir remarqué un retard de ses règles qu’elle raconte à sa cousine qui a son tour met sa maman au parfum des choses. Conduite à l’hôpital, la gynécologue a conclu à une grossesse de cinq mois. De retour de l’hôpital la mère interpelle le marabout qui reconnait avoir drogué la fille, après avoir proposé une potion pour faire avorter la fille que la mère de MB. N. refuse catégoriquement. Une plainte a été déposée. Devant l’enquêteur Ousseynou Diop a encore reconnu les faits en acceptant la paternité et en promettant de prendre en charge la fille jusqu’à son accouchement. Suffisant pour l’envoyer devant le procureur qui lui a décerné un mandat de dépôt.
A son réveil la fille découvre ses habits tachetés et décide de ne rien dire à ses parents. C’est après deux mois, après avoir remarqué un retard de ses règles qu’elle raconte à sa cousine qui a son tour met sa maman au parfum des choses. Conduite à l’hôpital, la gynécologue a conclu à une grossesse de cinq mois. De retour de l’hôpital la mère interpelle le marabout qui reconnait avoir drogué la fille, après avoir proposé une potion pour faire avorter la fille que la mère de MB. N. refuse catégoriquement. Une plainte a été déposée. Devant l’enquêteur Ousseynou Diop a encore reconnu les faits en acceptant la paternité et en promettant de prendre en charge la fille jusqu’à son accouchement. Suffisant pour l’envoyer devant le procureur qui lui a décerné un mandat de dépôt.
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