La co-coordonnatrice de la plateforme « Aar linu Bokk », s’est prononcée sur la détention provisoire de Guy Marius Sagna et compagnies (Cie), qui manifestaient contre la hausse du prix de l’électricité devant les grilles du palais de la République vendredi 26 novembre. Ndèye Fatou Ndiaye Blondin rassure que le professeur Babacar Diop qui a été interné à l’infirmerie de Rebeuss, va mieux et est retourné dans sa cellule.
Invitée de l’émission Jury du dimanche sur i-radio, elle a aussi informé que les détenus poursuivent la grève de la faim qu’ils ont entamée lors de leur garde à vue pour dénoncer leur arrestation « arbitraire ».
Ndèye Fatou Ndiaye Blondin prévient les autorités étatiques et judiciaires que la détention provisoire de leurs huit camarades ne leur ébranle pas. Car, dit-elle, « Nous ne lâcherons pas, nous n’allons pas reculer d’un iota. Nous allons continuer le combat pour non seulement obtenir la libération de ces derniers, mais également dénoncer la hausse du prix de l’électricité ».
« Nous espérons que la justice sera beaucoup plus sereine que la police. Parce qu’au début, on a même assimilé les délits à des actes de terrorisme. On ne saurait laisser passer une petite fenêtre de confusion dans les combats. La constitution permet le droit de manifester et qu’un arrêté ne saurait se mettre au-dessus de la constitution », a déclaré la Co-coordonnatrice de « Aar Li nu Bokk ».
Qui invite les gouvernants à se rappeler de la signification d’un Etat et à respecter les textes constitutifs de cet Etat. Pour elle, il y a eux deux poids deux mesures dans cette affaire.
Invitée de l’émission Jury du dimanche sur i-radio, elle a aussi informé que les détenus poursuivent la grève de la faim qu’ils ont entamée lors de leur garde à vue pour dénoncer leur arrestation « arbitraire ».
Ndèye Fatou Ndiaye Blondin prévient les autorités étatiques et judiciaires que la détention provisoire de leurs huit camarades ne leur ébranle pas. Car, dit-elle, « Nous ne lâcherons pas, nous n’allons pas reculer d’un iota. Nous allons continuer le combat pour non seulement obtenir la libération de ces derniers, mais également dénoncer la hausse du prix de l’électricité ».
« Nous espérons que la justice sera beaucoup plus sereine que la police. Parce qu’au début, on a même assimilé les délits à des actes de terrorisme. On ne saurait laisser passer une petite fenêtre de confusion dans les combats. La constitution permet le droit de manifester et qu’un arrêté ne saurait se mettre au-dessus de la constitution », a déclaré la Co-coordonnatrice de « Aar Li nu Bokk ».
Qui invite les gouvernants à se rappeler de la signification d’un Etat et à respecter les textes constitutifs de cet Etat. Pour elle, il y a eux deux poids deux mesures dans cette affaire.
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