Les suspicions de troubles qui pèsent sur Dakar aujourd’hui auront leur impact sur l’économie sénégalaise. Car, en dehors des élèves à qui un congé a été donné, les travailleurs trouvent d’énormes difficultés pour se rendre à leur lieu de travail. Et pour cause, la société Dakar Dem Dikk (DDD) a préféré laisser ses véhicules à quai pour parer à toutes casses.
Cette position de la société de transport public met en rogne les usagers, même si certains d’entre eux disent comprendre cette société puisqu’à chaque fois qu'il y a des manifestations de ce genre, ces véhicules d’utilité publique en pâtissent.
«Depuis 6 heures du matin, j’attends "P1" (DDD), et c’est vous qui venez de m’apprendre qu’il ne passera pas aujourd’hui. Donc, je vais rentrer chez moi puisque je suis déjà en retard», a déploré un jeune trouvé à l’arrêt de l’unité 26 des Parcelles Assainies.
Et son cas n’est pas un cas à part puisque, les arrêts de bus ont été investis par des clients qui se rabattent, sur les «cars rapides », «Tatas» ou encore les «Ndiaga Ndiaye». Mais les chauffeurs desdits véhicules trouvent un malin plaisir à redéfinir les trajets avec plusieurs tronchons, augmentant à la même occasion le coût du transport.
N’empêche, certains usagers des transports publics comprennent parfaitement la décision radicale des responsables de DDD. Car, expliquent-ils, déjà trois (3) véhicules avaient déjà été saccagés le 20 mars dernier, date du verdict sur l’affaire de la Caisse d’avance de la mairie de Dakar qui avait vu l’édile de la capitale sénégalaise écoper de 5 ans de prison ferme.
Ces tracasseries ne concernent pas seulement les «bureaucrates» car, les écoles dans la capitale sénégalaise aussi ont été fermées jusqu’à demain.
A Sandaga aussi, les impacts de ce 19 avril sont visibles. En effet beaucoup de commerçants ont tout simplement préféré baisser les rideaux.
Cette position de la société de transport public met en rogne les usagers, même si certains d’entre eux disent comprendre cette société puisqu’à chaque fois qu'il y a des manifestations de ce genre, ces véhicules d’utilité publique en pâtissent.
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Et son cas n’est pas un cas à part puisque, les arrêts de bus ont été investis par des clients qui se rabattent, sur les «cars rapides », «Tatas» ou encore les «Ndiaga Ndiaye». Mais les chauffeurs desdits véhicules trouvent un malin plaisir à redéfinir les trajets avec plusieurs tronchons, augmentant à la même occasion le coût du transport.
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