
Le président de l’Alliance pour la citoyenneté et l’action (Act), Abdoul Mbaye, par ailleurs, ancien Premier ministre, estime que le Dialogue national, lancé en le 28 mai par le chef de l’Etat, doit se tenir à l’Assemblée nationale dans une vraie démocratie.
« Un dialogue national se donnant pour objet l’intérêt de la Nation n’a pas besoin d’être enfermé dans des salles de conférence avec quelques participants sélectionnés, supposés représentés la Nation. Un dialogue national doit être permanent.
Dans une vraie démocratie représentative, il doit voir lieu au sein de l’Assemblée nationale », souligne M. Mbaye.
D’après lui, la sincérité d’un dialogue national doit apparaitre sous la forme de mesures prises pour lui donner vie en ces différents endroits. « Nous ne sommes malheureusement pas spectateurs de telles attitudes qui ne peuvent reposer que sur une réelle intelligence politique ».
Un vrai dialogue peut devenir fécond, selon Abdoul Mbaye, grâce à la bonne gouvernance ou à la correction d’une mauvaise option venue d’une voix contraire. Il estime que la démocratie sénégalaise doit réussir à faire ce saut qualificatif en acceptant que l’opposition n’est pas le diable, mais plutôt la garante d’un pluralisme démocratique.
« Un dialogue national se donnant pour objet l’intérêt de la Nation n’a pas besoin d’être enfermé dans des salles de conférence avec quelques participants sélectionnés, supposés représentés la Nation. Un dialogue national doit être permanent.
Dans une vraie démocratie représentative, il doit voir lieu au sein de l’Assemblée nationale », souligne M. Mbaye.
D’après lui, la sincérité d’un dialogue national doit apparaitre sous la forme de mesures prises pour lui donner vie en ces différents endroits. « Nous ne sommes malheureusement pas spectateurs de telles attitudes qui ne peuvent reposer que sur une réelle intelligence politique ».
Un vrai dialogue peut devenir fécond, selon Abdoul Mbaye, grâce à la bonne gouvernance ou à la correction d’une mauvaise option venue d’une voix contraire. Il estime que la démocratie sénégalaise doit réussir à faire ce saut qualificatif en acceptant que l’opposition n’est pas le diable, mais plutôt la garante d’un pluralisme démocratique.
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