En Algérie, c'est la crise au Parlement. L'Assemblée populaire nationale, qui comprend 462 députés, est paralysée depuis plus de trois semaines. La raison ? Les députés de la majorité demandent le départ du président du Parlement. Et ce dernier refuse.
La porte du Parlement est fermée à l'aide de chaînes et de cadenas, et des députés manifestent devant l'entrée. La scène, inhabituelle, est le dernier épisode d'un feuilleton qui dure depuis presque un mois. Le personnage principal en est Saïd Bouhadja, président de l'Assemblée populaire nationale. Cet homme, qualifié «d'apparatchik» par la presse, n'avait jamais vraiment fait parler de lui avant cette affaire.
Les députés de la majorité, le chef du FLN, Djamel Ould Abbès, et même le Premier ministre Ahmed Ouyahia, appellent à sa démission depuis la mi-septembre. Saïd Bouhadja est accusé de mauvaise gestion. Lui dénonce des représailles parce qu'il aurait voulu limiter l'usage des voitures de fonction ou les recrutements de personnel.
Le président du Parlement répète qu'il ne partira qu'à la demande du président de la République. Lundi, il a été exclu du FLN. Mais rien n'y fait, il attend la décision d'Abdelaziz Bouteflika. Une décision qui ne vient pas et qui fait dire à l'opposition les institutions sont bien en crise.
La porte du Parlement est fermée à l'aide de chaînes et de cadenas, et des députés manifestent devant l'entrée. La scène, inhabituelle, est le dernier épisode d'un feuilleton qui dure depuis presque un mois. Le personnage principal en est Saïd Bouhadja, président de l'Assemblée populaire nationale. Cet homme, qualifié «d'apparatchik» par la presse, n'avait jamais vraiment fait parler de lui avant cette affaire.
Les députés de la majorité, le chef du FLN, Djamel Ould Abbès, et même le Premier ministre Ahmed Ouyahia, appellent à sa démission depuis la mi-septembre. Saïd Bouhadja est accusé de mauvaise gestion. Lui dénonce des représailles parce qu'il aurait voulu limiter l'usage des voitures de fonction ou les recrutements de personnel.
Le président du Parlement répète qu'il ne partira qu'à la demande du président de la République. Lundi, il a été exclu du FLN. Mais rien n'y fait, il attend la décision d'Abdelaziz Bouteflika. Une décision qui ne vient pas et qui fait dire à l'opposition les institutions sont bien en crise.
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