« Je reste convaincu que l’avenir de la presse appartient à celle en ligne car nous allons vers le numérique », a dit le Directeur de la communication au ministère de la culture et de la communication, Aliou Dramé, qui s'exprimait lors de l'assemblée générale de l'association des professionnels de la presse en ligne (APPEL), samedi à Dakar.
M.Dramé s'est par ailleurs réjoui de l'initiative de l’APPEL de se regrouper autour d’une structure dans le cadre de l’autorégulation et pour un modèle économique.
Selon lui, comparé à certains pays de la sous-région, la presse en ligne sénégalaise est beaucoup plus développée, ce qui à ses yeux constitue un acquis à préserver. « Le véritable problème de la presse sénégalaise est le manque de moyens. Il y a certaines personnes qui créent des sites pour bénéficier juste de l’aide à la presse sans se soucier du contenu », fait remarquer M.Dramé, invitant ainsi les professionnels de la presse en ligne à plus de responsabilité et de rigueur dans le travail.
Le directeur de la communication a aussi évoqué la responsabilité des administrateurs de sites et de portails d'information relativement à la régulation des forums de discussion, lieux de toutes les dérives. « La presse en ligne a des problèmes dans son volet forum qu’il faut revoir» pointe Aliou Dramé.
Réunis en assemblée générale ce samedi à la maison de la presse, les professionnels de la presse en ligne ont procédé au renouvellement de leur instance.
Cette rencontre qui a réuni au total 38 éditeurs de la presse en ligne (fondateurs, directeurs de publication ou administrateurs de sites internet), a été une occasion pour passer en revue plusieurs questions les interpellant.
Pour sa part, Ibrahima Lissa Faye, directeur de publication de Pressafrik, reconduit pour un troisième mandat à la tête de l’association, invite ses pairs à plus de responsabilité : « Les plates-formes que nous administrons laissent entrevoir une image sur notre personnalité donc il faut toute la rigueur requise pour se faire une bonne et belle image », dira-t-il.
Les professionnels de la presse en ligne se donnent entre autres objectifs, la réactualisation des textes de l’association en vue de la régulation de ce secteur d’activité en plein essor.
M.Dramé s'est par ailleurs réjoui de l'initiative de l’APPEL de se regrouper autour d’une structure dans le cadre de l’autorégulation et pour un modèle économique.
Selon lui, comparé à certains pays de la sous-région, la presse en ligne sénégalaise est beaucoup plus développée, ce qui à ses yeux constitue un acquis à préserver. « Le véritable problème de la presse sénégalaise est le manque de moyens. Il y a certaines personnes qui créent des sites pour bénéficier juste de l’aide à la presse sans se soucier du contenu », fait remarquer M.Dramé, invitant ainsi les professionnels de la presse en ligne à plus de responsabilité et de rigueur dans le travail.
Le directeur de la communication a aussi évoqué la responsabilité des administrateurs de sites et de portails d'information relativement à la régulation des forums de discussion, lieux de toutes les dérives. « La presse en ligne a des problèmes dans son volet forum qu’il faut revoir» pointe Aliou Dramé.
Réunis en assemblée générale ce samedi à la maison de la presse, les professionnels de la presse en ligne ont procédé au renouvellement de leur instance.
Cette rencontre qui a réuni au total 38 éditeurs de la presse en ligne (fondateurs, directeurs de publication ou administrateurs de sites internet), a été une occasion pour passer en revue plusieurs questions les interpellant.
Pour sa part, Ibrahima Lissa Faye, directeur de publication de Pressafrik, reconduit pour un troisième mandat à la tête de l’association, invite ses pairs à plus de responsabilité : « Les plates-formes que nous administrons laissent entrevoir une image sur notre personnalité donc il faut toute la rigueur requise pour se faire une bonne et belle image », dira-t-il.
Les professionnels de la presse en ligne se donnent entre autres objectifs, la réactualisation des textes de l’association en vue de la régulation de ce secteur d’activité en plein essor.
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