
Le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr, a fait état dimanche d’une augmentation de 20, 56 % des cas de paludisme au Sénégal entre 2020 et 2021.
« Le nombre de cas de paludisme est passé au Sénégal de 445 313 en 2020 à 536 850 en 2021 soit une augmentation de 20,56 % », a-t-il indiqué lors d’une cérémonie officielle de lancement d’une campagne de distribution de masse de moustiquaires imprégnées à longue durée d’action (MILDA).
Sur la même période, le nombre décès liés à la maladie a augmenté de 6, 97 %, passant notamment de 373 en 2020 à 399 en 2021 au Sénégal, a-t-il fait savoir à cette manifestation organisée dans le village frontalier de Karang, hôte de cette cérémonie de lancement d’une campagne synchronisée de dotation de MILDA en Gambie et au Sénégal.
Il a dans le même temps insisté sur le fait la situation épidémiologique laissait toutefois apparaitre une baisse significative de la morbidité palustre chez les enfants de moins de 5 ans et les femmes enceintes entre 2017 à 2021, avec respectivement 26,3% et 51,1%.
Organiser sur le thème : « Innover pour réduire la charge du paludisme et sauver des vies », cette cérémonie a enregistré la présence du ministre gambien de la Santé et de l’Action sociale Ahmadou Lamin Samakeh.
Le Sénégal et la Gambie sont engagés à aller vers l’élimination du paludisme au plus tard à l’horizon 2030 dans le cadre d’un partenariat dynamique à travers cette campagne de distribution gratuite de masse de MILDA aux ménages.
Plusieurs personnalités des deux pays de même que des partenaires techniques et financiers ont pris part à cette cérémonie.
Avec APS
« Le nombre de cas de paludisme est passé au Sénégal de 445 313 en 2020 à 536 850 en 2021 soit une augmentation de 20,56 % », a-t-il indiqué lors d’une cérémonie officielle de lancement d’une campagne de distribution de masse de moustiquaires imprégnées à longue durée d’action (MILDA).
Sur la même période, le nombre décès liés à la maladie a augmenté de 6, 97 %, passant notamment de 373 en 2020 à 399 en 2021 au Sénégal, a-t-il fait savoir à cette manifestation organisée dans le village frontalier de Karang, hôte de cette cérémonie de lancement d’une campagne synchronisée de dotation de MILDA en Gambie et au Sénégal.
Il a dans le même temps insisté sur le fait la situation épidémiologique laissait toutefois apparaitre une baisse significative de la morbidité palustre chez les enfants de moins de 5 ans et les femmes enceintes entre 2017 à 2021, avec respectivement 26,3% et 51,1%.
Organiser sur le thème : « Innover pour réduire la charge du paludisme et sauver des vies », cette cérémonie a enregistré la présence du ministre gambien de la Santé et de l’Action sociale Ahmadou Lamin Samakeh.
Le Sénégal et la Gambie sont engagés à aller vers l’élimination du paludisme au plus tard à l’horizon 2030 dans le cadre d’un partenariat dynamique à travers cette campagne de distribution gratuite de masse de MILDA aux ménages.
Plusieurs personnalités des deux pays de même que des partenaires techniques et financiers ont pris part à cette cérémonie.
Avec APS
Autres articles
-
Juan Branco dénonce son arrestation à l'aéroport par « 7 hommes armés »
-
Violences policières : l'Association de la presse étrangère dénonce l'agression du journaliste de l'AFP
-
Le réquisitoire de feu du procureur: il réclame deux ans de prison dont un an ferme
-
L’avocat d’Ousmane Sonko explique les raisons de son refus d’assister au procès
-
Me Saïd Lafourou, avocat de Sonko : "Nous ne sommes pas là pour être complice à la destitution de la justice "