Un nouveau-né de trois jours a retrouvé la mort à la clinique de la Madeleine, à Dakar. Le drame est survenu suite à des « brûlures » et une « asphyxie ». Les parents de la victime ont déposé une plainte contre pour connaître les véritables circonstances du drame survenu le samedi 9 octobre à l’aube. Les agents ont été convoqués ce lundi, rapporte Libération.
L’affaire a eu lieu samedi dernier. Le Couple Saleh qui a accueilli son deuxième enfant le 7 octobre, a perdu leur bébé dans des circonstances atroces. L’enfant né avec une jaunisse (maladie qui rend la peau des nouveau-nés jaunâtre), a perdu la vie sur la table de photothérapie.
Selon plusieurs médias de ce lundi, l’enfant a été « oublié » pendant longtemps sous les rayons Uv. Réda Saleh, papa du bébé a déploré la conduite des responsables de la Clinique. « Ils ne sont pas capables de me dire ce qui s’est passé. Ils ne m’ont livré aucune explication de ce qui a engendré la mort de mon enfant », a-t-il pesté.
M. Saleh d’ajouter dans les colonnes de l’Observateur, « A part le gynécologue qui suivait ma femme qui a subi une chirurgie importante, qui est venu nous consoler, personne n’a donné signe de compensations, même pas un message de condoléances ».
Sur l’état de son enfant, M. Sahel fait savoir que ce qu’il a vu « ce n’est pas mon bébé, c’est une catastrophe ».
Les responsables et cinq agents sont convoqués ce lundi.
L’affaire a eu lieu samedi dernier. Le Couple Saleh qui a accueilli son deuxième enfant le 7 octobre, a perdu leur bébé dans des circonstances atroces. L’enfant né avec une jaunisse (maladie qui rend la peau des nouveau-nés jaunâtre), a perdu la vie sur la table de photothérapie.
Selon plusieurs médias de ce lundi, l’enfant a été « oublié » pendant longtemps sous les rayons Uv. Réda Saleh, papa du bébé a déploré la conduite des responsables de la Clinique. « Ils ne sont pas capables de me dire ce qui s’est passé. Ils ne m’ont livré aucune explication de ce qui a engendré la mort de mon enfant », a-t-il pesté.
M. Saleh d’ajouter dans les colonnes de l’Observateur, « A part le gynécologue qui suivait ma femme qui a subi une chirurgie importante, qui est venu nous consoler, personne n’a donné signe de compensations, même pas un message de condoléances ».
Sur l’état de son enfant, M. Sahel fait savoir que ce qu’il a vu « ce n’est pas mon bébé, c’est une catastrophe ».
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